INCIDENTS À LA FAC
Mercredi soir la conférence de 2 députés de la France Insoumise a été perturbée par des manifestants. Louis Boyard et Carlos Martens Bilongo font une tournée dans toute la France pour parler de « la précarité étudiante ». Leur conférence à Bordeaux a été l’occasion pour une vingtaine de militants patriotes de rappeler la politique pro-invasion migratoire du parti islamo-gauchiste de Jean-Luc Mélenchon.
DES PANCARTES CONTRE L’INVASION MIGRATOIRE
Comme la Ligue du Midi l’a fait à Montpellier, de jeunes manifestants, à l’extérieur du bâtiment, ont dénoncé l’engagement, en faveur de SOS Méditerranée, de Carlos Martens Bilongo. Il s’agit de ce député qui a été interrompu à l’Assemblée Nationale par Grégoire de Fournas pendant les questions orales au Gouvernement. Le député du Médoc s’était écrié « qu’il retourne en Afrique » à propos du bateau chargé de clandestins que défendait la « France Insoumise ». La conférence bordelaise se tenait dans l’enceinte de la Fac de Bordeaux-Pessac. Et la manifestation devant la porte (fermée) était pacifique. Elle n’a pas plu aux gauchistes du « service d’ordre » des députés. Ils sont sortis armés de matraques, de gazeuses pour tenter de chasser les patriotes. Mal leur en pris. Les choses ne se sont pas passées comme ils l’espéraient. Les manifestants de droite ne se sont pas enfuis. Ils ont fait face, et les gauchistes ont été obligés de reculer. Ils se sont vite réfugiés derrière les portes, dans le bâtiment. Dans la panique, nos gauchistes ont appelé au secours la police. Il reste délicieux de voir ceux qui dénoncent en permanence les « violences policières » appeler le 17 à la première petite contrariété… Sans honte !
PAS D’ARRESTATION
La police est arrivée rapidement et a, semble-t-il, bien compris la situation. Elle n’a procédé à aucune arrestation. Elle a demandé aux manifestants de « circuler », ce qui a mis fin aux incidents. Mais nos amis gauchistes étaient en émoi. Ils ont immédiatement embouché les trompettes (usées) de l’antifascisme. Ils se sont répandus sur les réseaux sociaux et auprès des journalistes. En mentant de façon éhontée. Ils ont dénoncé une « attaque », alors que les violences, encore une fois, étaient de leur fait. Il est d’ailleurs scandaleux que les autorités de la Fac aient accepté la présence d’un service d’ordre composé d’énergumènes armés de matraques même de gazeuses. Il s’agit d’armes interdites… C’est évidement la version gauchiste qui a été reprise par la presse. Dans les articles, les manifestants de droite sont devenus « un commando armé d’extrême droite ». Même si les vidéos publiées sur le net démentent cette version. On y voit des personnes qui tout simplement manifestent…
« LE POING LEVÉ » APPELLE A UN RASSEMBLEMENT
Le groupuscule « Le poing levé », issu d’une nième scission de la mouvance trotzko-communiste, appelle à manifester contre le fascisme. Un dénommé Jean Pierre, membre du fameux service d’ordre gauchiste des 2 députés, annonce qu’il va porter plainte. Le pauvre aurait reçu un coup sur le crane. Et le Président de l’Université annonce, lui aussi, qu’il va porter plainte. Rappelons qu’il se passe sur le campus des choses bien plus graves qu’une manifestation d’opposition à la politique migratoire. L’insécurité sur le campus est telle que les étudiantes ont peur de se faire violer et que les rackets et agressions sont quotidiens. Mais cela ne semble pas être la priorité de l’administration universitaire… ni du Ministre Darmanin. Le Ministre alerté de ce mini-incident s’est fendu d’un Twitt sur « la liberté d’expression ». On constate que, pour ce Ministre de Macron, la liberté c’est OK pour défendre SOS méditerranée, mais pas pour dénoncer l’invasion migratoire.
LE SCANDALE DE LA PRESSE
Ce qu’il faut surtout retenir c’est la façon dont la presse a traité cette information. Une manifestation pacifique devient un « commando d’extrême droite » pour 20 Minutes, Sud Ouest ou pour Rue 89. Dans notre pays,toute opposition à la politique d’invasion migratoire est dénoncée et déformée par les journalistes aux ordres. Les lecteurs et les auditeurs de la presse « mainstream » sont trompés, manipulés comme dans une dictature « pure et dure ». Et l’intimidation est patente. Manifester son opposition au gauchisme, c’est prendre le risque d’être qualifié de fasciste…