Francocide à Crepol: la guerre civile a t’elle commencé ?

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Il faut bien comprendre ce qui a eu lieu à Crepol dans la Drôme: des jeunes Français de la France rurale ont été pris pour cibles, attaqués au couteau, l’un d’entre eux, un gamin de 16 ans, a été égorgé parce qu’une bande venue d’une zone grand-remplacée et racaillisée a décidé de venir «se faire du blanc» comme l’attestent plusieurs témoins.

La violence mise en œuvre et la détermination des agresseurs interdisent de qualifier cette équipée sauvage de simple « rixe », ainsi que le font un certain nombre de médias dans le but de réduire cet evenement à un simple fait divers.

On ne peut s’empêcher de faire un rapprochement avec le festival de Reim, pris d’assaut par les terroristes du Hamas, le 7 octobre dernier.

C’est signé, c’est ethnique, c’est racial, c’est tout ce qu’on n’a pas le droit de nommer et pourtant c’est cela et pas autre chose.

D’un côté, une jeunesse insouciante qui festoie pacifiquement, qui festoie comme on a toujours festoyé dans ce pays depuis des générations, qui plus est dans une salle des fêtes de la France rurale, une salle encore debout puisque contrairement aux MJC des zones remplacées cette salle des fêtes, dans cette petite commune de la France rurale, n’avait pas été brûlée, détruite, abandonnée ou transformée en squat pour trafiquants de drogue.

En face, une autre sorte de jeunesse, barbare, violente, déjà lobotomisée par les logiques de gang, de rivalité, de revanche et de violence ; une jeunesse qui, lorsqu’on lui refuse l’accès à une salle des fêtes où elle n’a rien à faire, revient avec des couteaux pour faire des morts et des blessés, la bave aux lèvres, la gorge injectée de sang à en devenir veineuse.

Lorsque ces deux jeunesses se rencontrent, c’est toujours la même qui sort les couteaux et toujours la même qui les prend dans le thorax ou le cou. Et il en sera ainsi encore demain, la semaine prochaine et pendant des années tant que le rapport de force et les flux migratoires ne seront pas inversés.

Ces deux jeunesses vont se percuter de plus en plus et la nôtre n’est pas prête à encaisser le choc.

Parce que depuis des années, nos médias, nos politiques, nos artistes, nos profs d’écoles, de collèges et de lycées, en enfonçant leurs inepties progressistes, pacifistes, vivre-ensemblistes, antiracistes et castratrices dans les crânes de nos gosses ont fini par leur faire baisser la garde et les transformer en agneaux pendant qu’en face, déjà largement affranchie de ces autorités factices, une autre jeunesse a aiguisé ses dents et ses couteaux.

Nous avons été transformés en agneaux par 40 ans de lobotomie gauchiste. Les responsables sont connus, nous n’oublierons pas.

D’ici là, il faut refaire des hommes.

Il faut que notre jeunesse se refasse une virilité, fasse du sport, apprenne à se battre, assume sa masculinité, porte ses cou*lles pour le dire familièrement. Laisser nos gosses se faire endormir par les discours castrateurs n’est plus une option.

Il faut arrêter les marches blanches, les minutes de silence, les bougies et les peluches et adopter la méthode corse qui a fait ses preuves, en organisant des expéditions punitives à chaque fois que cela se produira !

En France nous parlons maintenant purement et simplement de survie au sens strict.

Repose en paix, Thomas, 16 ans, enfant de France sacrifié.

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