Bordeaux, lundi 1er juin à 17h, parvis des Droits de l’Homme se tenait un rassemblement à la mémoire de la mort de Georges Floyd, à Mineapolis aux USA, délibérément étouffé par un policier dans la rue le 25 mai. Depuis ce jour, plusieurs villes américaines sombrent au rythme d’horribles massacres urbains. Cette guerre raciale est accompagnée d’un cri symbolisé par le #BlackLivesMatter.
Bordeaux, parvis des Droits de l’Homme, cinq jours plus tard, un rassemblement « Justice pour Floyd » est organisé au cours duquel les participants sont invités à poser un genou à terre pour dénoncer les violences policières.
Ce rassemblement est organisé par l’association bordelaise Mémoires et Partages de Monsieur Karfa Sira DIALLO.
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Monsieur Philippe POUTOU, candidat au deuxième tour pour la mairie de Bordeaux pour le Nouveau Parti Anti-capitaliste, était de la partie, pour dénoncer la violence d’État, aux US comme en France.
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Hier, ce rassemblement organisé en quelques jours, au prétexte d’un événement survenu outre-Atlantique réunissait tout ce que Bordeaux compte de bobos et d’anti-fa. Comme aux USA, cette initiative populaire censée rassembler contre la haine et la violence, est récupérée par des mouvances d’extrême-gauche, connues pour leur ultra-violence envers tous ceux qui ne leur ressemblent pas.
La manifestation, réunissant plusieurs centaines de participants, a d’ailleurs commencé par une altercation, durant laquelle une personne s’insurgeant contre des slogans liés aux violences policières lors des manifestations des Gilets Jaunes a été violemment sortie du rassemblement. La vidéo ci-dessous, issue de la page Facebook de l’Action Française Bordeaux dont des militants étaient présents, permet de se rendre compte de la réalité de la manifestation.
Il faut croire que la mort malheureuse et injuste d’un noir aux USA indigne plus Monsieur Poutou et sa bande de gauchistes que les violences conjugales en France, la délinquance en France, les guet-apens criminels contre les pompiers dans les grandes villes de France, les meurtres par égorgements des français dans leurs rues, la régularisation de masse des clandestins, le vandalisme christianophobe de notre patrimoine français ou les viols de françaises en plein jour par exemple.
