NDLR : Notre bon Sud Ouest est l’exemple même de média du système, politiquement correct, avec une fausse modération qui masque mal un parti pris évident. Un de nos lecteurs retraité de l’Education Nationale, analyse pour notre plaisir les incohérences de 2 articles sur l’abaya.
Bonjour Madame, bonjour Monsieur,
Quand on va au travail, on a une tenue de travail. L’infirmière a sa blouse et sa coiffe, l’ouvrier son bleu ou équivalent, pas un smoking, l’employé d’assurance son costard et l’employée correspondante une tenue qui s’apparente au chemisier + jupe (ou pantalon) ou encore une robe sobre en restant élégante face à la clientèle.
* : je suis un retraité de l’EN, et avec une certaine fierté, défavorablement connu d’un certain nombre de journalistes de SO.
Pour confirmer l’analyse de Razika Adnani il suffit de lire la sourate 33 verset 59 qui ordonne aux femmes une tenue couvrante.
Ô Prophète! Dis à tes épouses, à tes filles, et aux femmes des croyants, de ramener sur elles leurs grands voiles: elles en seront plus vite reconnues et éviteront d’être offensées.
Se rajoute qu’elle seront reconnues, assurément bonnes musulmanes, ce qui est une discrimination… Le comble est de retourner le recherché en accusation contre qui le refuse !
Pire, la fin conclut qu’elles éviteront d’être offensées, donc à l’inverse il est légitimé que les autres le soient ! Et par quelles offenses (simple mépris, insultes, exclusion sociale, pire…) ?
C’est ce que nos bonnes et jeunes musulmanes appellent LA LIBERTÉ DE CHOIX !
Et il y a bien d’autres contraintes imposées aux femmes !
Ladite sociologue prétend que c’est la loi de 2004 qui a poussé au repli sur soi de la communauté musulmane -c’est oublier les français chassés de certains quartiers, particulièrement certains commerces hors de la norme islamique dont les tenanciers ont été insultés et les boutiques caillassées- et encouragé le port du voile !
C’est occulter que là où la population d’origine musulmane devient importante, elle applique ce que lui conseille le coran. Sourate 47 verset 35 – Ne faiblissez donc pas et n’appelez pas à la paix alors que vous êtes les plus hauts, que Dieu est avec vous, et qu’Il ne vous frustrera jamais [du mérite] de vos œuvres.
Le « vous » induit même une implication communautaire, ce que ne prennent jamais en compte les politiques, et encore moins la justice qui ne considère que l’aspect individuel des délits et autres.Aujourd’hui la population d’origine musulmane doit tourner autour de 10 millions, cela ne va pas diminuer ! Et bien sûr, omerta sur la massive immigration musulmane, la démographie de cette communauté, comme causes des conflits !
Le conseil de ladite sociologue, par sa référence à Montesquieu, se convertir pour avoir la paix (?). C’est que l’islam n’accepte pas autre chose… en effet tous les pays musulmans sont intolérants, même le Maroc, pour ce qui n’est pas l’islam. D’autre part, l’islam INTERDIT, toute modifications de ses règles… donc le « mieux changer les mœurs », en l’occurrence, tombe à plat !
Cela ne concerne pas que l’habillement :A Nice, après des prières à l’école par des gosses de 8/10 ans en juin dernier, on apprend que s’y effectuaient des pressions sur les gosses mangeant du porc. Outre que ce totalitarisme est le fait de l’islam, il y a encouragement de familles en plus d’imans.
Les jeunes musulmans sont plus extrémistes que leurs parents, un sondage de l’IFOP de 2021 indiquait que 65% étaient pour l’application de la charia contre les lois de la République. C’est donc que l’éducation à la laïcité doit commencer à l’Ecole, ce que dénie cette prétendue sociologue !
Même à la considérer comme sincère, malgré ses études des mondes arabes et musulmans, elle n’a rien compris à l’islam… Celui-ci traite de tout, de religion, mais aussi du juridique au sociétal, jusqu’au plus intime de la vie (je ne précise pas !).
Pour rappel historique, Jean Zay, ministre de l’Education nationale sous le front populaire, avait publié une circulaire le 1er juillet 1936 concernant le port d’insignes (politiques) pouvant susciter des réactions contraires.