L’extrême gauche bordelaise vient encore de s’illustrer. Après l’incendie de la porte de la Mairie, attribuée, de façon pavlovienne, à l’extrême droite, c’est maintenant le saccage de la faculté de psychologie et de sociologie de la place de la Victoire.
La police a évacué de force les occupants de la faculté, un magnifique ensemble immobilier du 19ème siècle.
Ce matin à 4h30, 9 camions de police ont surpris les occupants pendant leur sommeil. 40 personnes ont été sorties, sans résister réellement. Les barricades qui avaient été préparées n’ont servi à rien. Les brillants défenseurs dormaient. Les SDF, les punks à chiens, et les quelques militants écolo-gauchistes à carte d’étudiant présents, se sont enfuis.
Depuis quelques jours le lieu servait de base arrière pour les manifestations anti-réforme des retraites. Quelques 200 personnes, professionnels de l’agitation de gauche, se retrouvaient là et faisaient vivre ce «nouveau « tiers-lieu ». Une ambiance révolutionnaire régnait, avec bombes de peinture et musique techno. Des rave-parties étaient même organisées.
Voir notre article : https://burdigala-presse.fr/les-black-bourges-detruisent-la-fac
SACCAGES À TOUS LES ÉTAGES
Selon la police les lieux ont été complètement saccagés : les systèmes de vidéo protection détruits, même chose pour les installations de sécurité incendie, les murs tagués du sol au plafond. Les occupants ont dénoncé le capitalisme à la peinture sur toutes les surfaces utiles (sol, plafonds, cloisons) et ont appelé à la révolution. Tous les locaux y sont passés, y compris les logements de fonction ! A tel point que le doyen n’envisage pas que la fac puisse ouvrir de nouveau avant septembre… Ainsi, en quelques jours, les destructions gauchistes ont rappelé aux bordelais la vraie nature des activistes soutenus par la Mairie à travers toute la nébuleuse d’associations subventionnées. Ces associations qui manifestent bruyamment pour dénoncer le fascisme, l’extrême droite et… les violences policières.
PROCÈS POLITIQUE A BORDEAUX
Ce retour fracassant de la violence de l’extrême gauche intervient juste au moment où s’est déroulé le procès à grand spectacle de 8 militants de droite bordelais. Pendant 2 jours d’audience, le tribunal correctionnel a mis en scène un danger de fascisme à Bordeaux. Pas moins !
Les 8 accusés ont été complètement surpris par l’ampleur qu’a prise la bagarre qu’ils ont subie dans un quartier islamisé de Bordeaux. Ces jeunes gens, en juin dernier, rentraient d’une soirée au restaurant. Ils ont traversé le quartier Saint Michel. Grave erreur. Ils ont croisé un couple en train de se faire détrousser par des mineurs non accompagnés. Deuxième erreur, ils sont intervenus. Ils ont chassé les agresseurs, sans porter un seul coup. C’était sans compter sur la solidarité ethnique. Rapidement rameutés, une trentaine d’allogènes du quartier sont tombés sur les militants. Ils ont engagé une bagarre, qu’ils ont vite abandonnée, devant l’efficacité des gaulois (de souche et assimilés, parce qu’il y avait des gaulois de branche parmi les militants…). Il n’y a eu aucun blessé. Zéro ITT.
Mais la machine médiatique de la gauche s’est emballée et la presse, dès le lendemain a dénoncé une ratonnade !
Les gauchistes tenaient leur affaire. Ils ont tenté de l’exploiter au maximum. Après une instruction qui a mobilisé des dizaines de policiers, un grand procès a été organisé. Des dizaines de journalistes se sont déplacés et occupaient la salle d’audience, le 23 mars, espérant un grand moment judiciaire. Grosse déception. En l’absence de faits matériels pouvant motiver une condamnation, les débats ont tourné à la farce. Les parties civiles se sont rabattues sur les opinions politiques des prévenus.
Comme dans les procès de Moscou, ou ceux de la Révolution Culturelle, les avocats des associations subventionnées se sont acharnées sur les idées des pauvres inculpés. Certains ont dû répondre pendant 2 heures aux questions sur la deuxième guerre mondiale, la Shoah, et sur le rôle d’Adolf Hitler dans le massacre des juifs d’Europe. Un remake des heures sombres du communisme. Un pur délire juridique…
La justice a perdu son temps à poursuivre des délits fantômes, tandis que se déchaînait la violence de la gauche dans les rues de Bordeaux.
Mais l’essentiel n’est il pas de faire croire au bon peuple que la peste brune menace !