Les réactions disproportionnées et en réalité complètement démentes de la sphère transactiviste suffisent à démontrer que ce petit milieu est largement composé de gens dérangés et fanatisés.
Et l’agressivité dont ils font preuve, la violence, la haine qu’ils vomissent contre un livre écrit par deux auteurs qui pourtant parlent depuis la sphère féministe devraient alerter les autorités à propos du fait qu’il se passe, dans cette sphère, des choses et des comportements extrêmement inquiétants.
Honte aux petits élus opportunistes de gauche et aux journaleux compromis dans le wokisme jusqu’à la trogne parce qu’en encourageant cette sphère à réclamer et à obtenir de la censure et de la punition, ils l’encouragent à devenir encore plus vorace qu’elle ne l’est déjà dans ce domaine.
Or qui veut d’une société où une ultra-minorité de gens dérangés par leur propre réalité biologique, de gens qui foulent aux pieds tous les ordres moraux, sociaux et naturels qui établissent les sociétés humaines depuis l’aube des temps, décide, impose, censure et en dernière analyse commande à la décision de l’élu et du législateur ?
La parution de ce livre opère comme un coup de pied dans une fourmilière où grouillent des pulsions de folie assumée et cela met en évidence que ce mouvement transactiviste, après avoir revendiqué de contester à la biologie son ordre éternel et inchangeable, prétend aussi nier aux autres le droit de rester fidèle à la nature des choses.
L’éditeur de ce livre doit maintenant consacrer une partie des bénéfices des ventes (qui s’annoncent colossales) pour envisager des procédures en justice contre les intimidations et les décisions arbitraires qui accompagnent le parcours commercial de l’ouvrage depuis sa sortie.
#Transmania