On nous dit parfois que la guerre civile n’a pas encore débuté en France.
C’est faux.
Elle est déjà largement entamée dans le royaume des sourds, des aveugles, des inconscients et des irresponsables.
Elle a ses belligérants, qui ne brandissent jamais le drapeau français.
Elle fait ses victimes, innocentes, qui sont toujours les mêmes.
Il y a ceux, désemparés, paralysés, dans le déni, qui la redoutent, qui tergiversent, et qui font tout, à grands frais, pour l’ignorer sans rien faire pour en traiter les causes. Ils reculent, se soumettent et capitulent, croyant l’éviter.
Et il a bien ceux qui la conduisent et qui nous l’affirment explicitement dans la rue depuis le début des années 2010.
Qui n’a pas déjà entendu de leur part « c’est trop tard, la France est à nous, vous êtes foutus » ?
Qui l’a entendu, mais ne veut toujours pas prendre cette menace concrète et effective au sérieux ?
Qui sont les déconnectés, hors sol, qui n’auraient pas entendu ce qui se dit pourtant partout et de façon ostentatoire dans ce pays ?
Le ver de la guerre civile est dans le fruit Français. Il est déjà actif. Il a ses causes, ses masses, ses moyens, son idéologie, sa doctrine, sa méthode et ses buts.
Comme souligné par David Duquesne, » la France vit depuis 2005 au rythme de secousses : émeutes de banlieue, attaques terroristes, flambées de violence ciblée. Chaque fois, les autorités parlent de « dérapage », de « crise passagère », de « choc émotionnel ». Mais il faut ouvrir les yeux : ces événements ne sont pas des accidents. Ce sont des répétitions générales. Des salves d’essais avant la grande offensive. Le séisme final approche, et ses épicentres sont déjà prêts. »
Il ajoute : « La France s’avance vers une insurrection généralisée des quartiers. Cette fois, il ne s’agira plus de quelques nuits de feu. Ce sera un soulèvement massif, coordonné, porté par une génération nourrie à la haine de la France, formée dans l’entre-soi, dans les logiques de territoire, dans le rejet de la culture nationale, et galvanisée par un discours victimaire relayé à la fois par les islamistes et par la gauche radicale. »
Il précise : » Ce renversement ne se fera pas uniquement par la force brute. Il aura ses relais médiatiques, ses supplétifs universitaires, ses soutiens parlementaires. Depuis des années, une gauche radicale — intersectionnelle, postcoloniale, indigéniste — laboure les consciences, légitime les discours de rupture, justifie la haine de la France au nom de son passé colonial, racialiste ou patriarcal. Cette gauche ne tiendra pas les armes, mais elle aura tenu les micros. Elle aura préparé les esprits. »
Cette guerre civile a déjà archipélisée la France. Elle a déjà fait de nombreuses victimes jamais officiellement décomptées.
Un exil a même débuté. Des Français quittent ce pays. D’autres en rêvent ou se réfugient dans les campagnes.
Toutes les guerres civiles ne se ressemblent pas. Elles n’ont pas forcément les mêmes caractéristiques, la même intensité, la même durée et les mêmes conséquences.
Celle qui a débuté en France est menée sans résistance. Le pouvoir ferme les yeux. Le haut encadrement militaire regarde ailleurs. Les Français, pris en otages, ligotés, sont priés de se taire et de la subir. Et la justice réprime ceux qui osent sortir de cet enfermement.
Le prix du déni de cette guerre civile de basse intensité et qui a débuté est terrible. Celui de l’inaction, de la soumission, de l’aveuglement et de la capitulation aussi.
Il est urgent et vital de lire David Duquesne.
Je ne suis pas prophète en mon pays, je ne suis pas devin, je n’ai trop de conscience politique, mais je sens dans mes tripes monter cette guerre civile depuis 1962 ! A partir du jour où l’on a rendu la Méditerranée aux barbaresques de 1830, qui ne se contentent plus de seulement d’attaquer et piller nos bateaux de commerce !
Je partage. Mais combien en sont conscients ?
vous accusez les « quartiers » cad les Arabes ! Erreur , non surement pas !c’est votre tactique .Vous ne nommer pas les vrais coupables qui sont une poignée de puissants qui mènent avec leur argent les média et autre partis politiques qui sèment la panique et zizanie pour mieux règner .Vous nous mentez sciemment .
Alors comment expliquez vous les émeutes ethniques après la mort de Nahel? Comment justifier les « incidents » recurrents de guerilla urbaine dans les quartiers? Le mensonge serait plutôt de votre côté (taqiya )à moins que vous ne soyez un aveugle total! Que les emeutiers soient manipulés ne change pas leur toxicité !!!!