« Le but final est d’éradiquer l’humanité telle que nous la connaissons. Une fois que vous comprenez la destination finale, il devient beaucoup plus facile de regarder en arrière et d’identifier le conditionnement psychologique, l’altération biologique, la manipulation culturelle et la préparation éducative auxquels nous avons été soumis pendant des décennies en vue de nous faire accepter un avenir post-humain.
Il faut beaucoup d’abus physiques et psychologiques pour qu’une espèce intelligente d’hommes comme la nôtre accepte sa propre extinction. La plupart, sinon tout ce qui a transcendé les soixante dernières années, a été conçu pour nous rapprocher de l’acceptation d’une telle réalité dystopique.
Que vous l’acceptiez ou non, nous vivons dans une matrice hyper-contrôlée où notre perception de la réalité est méticuleusement planifiée, gérée et exécutée afin de nous contrôler et de nous orienter dans la direction qu’ils souhaitent. Et cette direction, c’est un monde post-humain.
Pour ce faire, ils ont d’abord dû déstabiliser, déshumaniser et démoraliser l’humanité par tous les moyens possibles. La destruction de la famille nucléaire, les enfants endoctrinés par l’Etat, l’avortement, l’éradication de Dieu et de la spiritualité de l’éducation. La vie dans les mégapoles et loin de la nature. Des aliments, de l’air et de l’eau toxiques.
Les médias sociaux à la place des connexions et interactions humaines réelles. La crise financière et la fiscalité artificielles. Guerres sans fin et migrations massives, stress, anxiété, dépression, drogues et alcool. L’incitation constante à la peur. Le relativisme moral comme nouvelle religion.
Et je pourrais continuer à expliquer comment l’humanité a été influencée et forcée à s’éloigner de toutes les choses qui nous donnent de la force, de la sécurité, un but et un sens. Une population faible, immorale, déconnectée, ignorante et en mauvaise santé est une cible facile pour l’étape suivante, la création d’une génération entière d’êtres androgynes.
La masculinité est attaquée psychologiquement, culturellement et biologiquement.
Les femmes sont remplacées dans le sport, le divertissement et la politique par des hommes qui prétendent être des femmes, et les enfants sont endoctrinés à l’école pour penser que le genre est un choix.
Le mouvement transgenre n’est pas un mouvement populaire. Il vient d’en haut, il n’a rien à voir avec la liberté d’expression, la sexualité ou les droits civils des personnes. Il s’agit d’une opération psychologique diabolique dont l’objectif est clairement de nous rapprocher du transhumanisme en nous faisant remettre en question la notion la plus fondamentale de l’identité humaine, c’est-à-dire notre programme.
Si vous ne savez pas qui vous êtes, si vous vous identifiez déjà comme un hybride entre un homme et une femme, vous serez facilement convaincu de devenir un hybride entre l’humain et la machine. L’idéologie du genre est le deux plus deux égale cinq du roman dystopique 1984 de George Orwell.
C’est le test final pour voir si nous suivrons la ligne de parti la plus absurde vers notre propre extinction.
Mais deux plus deux égale quatre. Et peu importe comment vous choisissez de vous habiller, de vous appeler ou de changer votre physique, cela ne changera rien. La triste réalité, cependant, c’est que dans le processus de gaslighting * pour nous rapprocher d’un avenir post-humain, ils ont mentalement et physiquement blessé un nombre croissant d’enfants et de jeunes personnes. Et cela ne fait qu’empirer. Il faut y mettre un terme ».
Gaslighting : forme de manipulation mentale, dont le but est de pousser la victime à douter de sa mémoire, de sa perception de la réalité, ou de son état mental. Stratégie de prise de pouvoir et d’emprise sur l’autre.
La tradition immémoriale de l’humanité doit être éliminée.
Ce qui est historique doit être déconstruit pour que l’homme nouveau soit reconstruit. Dans son discours de clôture de la loi du mariage homosexuel, Christiane Taubira annonça qu’elle désirait une « nouvelle humanité ».
Telle est l’attente du gauchisme et du mondialisme : un homme nouveau, un homme parfait, une nouvelle humanité, une nouvelle « morale » débarrassée de tous les tabous et de tous les interdits liés au christianisme.
Le progrès technique rend envisageables la réduction drastique de la population – injections, maladies, empoisonnement par l’alimentation, chemtrails, dispersion de produits toxiques dans l’atmosphère, guerres, terrorisme, avortements – et l’altération de la définition de l’humanité – utérus artificiel projetant le futur de la société comme dans le livre d’Aldols Huxley « Le meilleur des mondes », égalité des sexes de type cloné asexué ou robotique, comme le prépare le transhumanisme.
L’enfant de maternelle, l’enfant du primaire deviennent la pierre angulaire de cette nouvelle « Genèse ». Les politiques entendent changer les mentalités, rééduquer culturellement les enfants, en endoctrinant la jeunesse pour assurer leur idéologie, comme l’ont fait les dictatures communistes et nazies.
Pendant des siècles, les sociétés humaines ont bâti et affermi un certain modèle de vie fondé sur des coutumes, des lois, des valeurs : c’est ce qu’on appelle la civilisation et la culture.
L’idéologie du genre, instrument de déconstruction, cache une volonté de détruire la civilisation et la culture, donc la société. C’est aussi en filigrane une charge contre les hommes, toujours accusés d’avoir inventé les deux genres masculin et féminin à leur seul profit. Le genre valide la victimisation féminine systématique, le fonds de commerce du féminisme radical.
La mode de vouloir faire pleurer les garçons, de transformer les garçons en filles, est une mode aliénante. Cela revient à déviriliser les garçons, leur imposer un modèle féminin, à les détruire profondément dans leur identité. C’est une violence psychologique majeure.
Aldous Huxley : « Lorsque les libertés politiques et économiques diminuent, la liberté sexuelle a tendance à s’accroître en proportion. Et le dictateur se trouvera bien d’encourager cette liberté. Cela aidera ses sujets à accepter la servitude qui est leur destin ».
Les pseudo-avancées en matière de mœurs font que l’homosexualité et la transsexualité sont érigées en modèles, l’unisexualité est érigée comme horizon indépassable, la marchandisation et le libre commerce des corps, l’esclavage sexuel de la femme et de l’enfant deviennent la norme sociétale progressiste.
Depuis le 22 septembre 2014, la PMA Procréation Médicalement assistée pour personnes homosexuelles se met en place. La PMA avec tiers donneur rend nécessaire l’adoption par l’ablation délibérée d’une branche de la filiation de l’enfant. Le père biologique ne prétendra à aucune paternité. L’enfant est bel et bien conditionné dès sa naissance à l’adoption. L’enfant devient vulgaire marchandise, avec sa propre chaîne de production médico-légale et ses consommateurs cibles. L’enfant est conçu en situation de manque.
À chaque réforme sociétale, les politiques s’accordent sur des compromissions qui trompent l’électeur pendant que le législateur s’engage réellement. D’aucuns y voient les bienfaits d’une élite éclairée et pédagogue. En fait, cette élite prétend imposer au peuple ce que son histoire, sa culture, ses traditions, son cœur lui interdisent de croire. L’homme n’a plus rien de réel. La nature qui a fait l’homme ne nous dit plus rien de lui. L’homme n’est plus qu’un concept sans aucun ancrage anthropologique. L’homme n’existe plus.
Le projet transhumaniste s’inscrit dans un schéma de déconstruction-reconstruction. Derrière tout cela, derrière le transhumanisme, il y a la volonté prométhéenne, démiurgique, d’être comme Dieu, de prendre la place de Dieu, depuis le commencement de la vie jusqu’à la mort.
L’homme augmenté, le trans humain, l’homme génétiquement modifié, ne sont que l’actualisation du mythe d’Icare, dont l’issue est programmée : un crash meurtrier. La seule différence, c’est que, désormais, nous sommes tous concernés. Le projet transhumaniste vise à créer un super homme, un homme supérieur, fusion de chair et de machine. Il est lié à la progression exponentielle de la connaissance.
Post-modernisme, ultra libéralisme, et marxisme ont un même projet : l’homme nouveau.
Cet homme nouveau émane de la philosophie du mêmisme.
Sur la foi de l’échec du communisme, la révolution politique n’est plus à l’ordre du jour. Mais le bouleversement des mœurs et de la condition humaine est à l’ordre du jour. La version post-moderniste de l’homme rappelle irrésistiblement celle de Marx. Marx était en quête d’une émancipation radicale dont l’aboutissement visait un universel en forme de dépersonnalisation et de néant identitaire, « l’homme générique ». Il disait : « Dire que l’homme est un être générique, c’est donc dire que l’homme s’élève au-dessus de son individualité subjective, qu’il reconnaît en lui l’universel objectif et se dépasse ainsi en tant qu’être fini. Autrement dit, il est individuellement le représentant de l’homme ».
C’est la finalité que nous retrouvons chez les idéologues du Gender, chez les post-modernistes ultra-libéraux. Par exemple, Monique Wittig, féministe française (1935-2003), David Halperin, historien américain, né en 1952.
Avec les idées du post-modernisme, nous aurions une mutation du marxisme, déduction faite du communisme politique, mais pas du communisme philosophique. La lutte passe du champ politique au domaine des mœurs, mais toujours avec reconstitution d’un Opérateur mythique, non plus le Prolétariat, mais les victimes, les minorités, le non occidental, la « Multitude ».
L’homme nouveau est fabriqué lentement, subrepticement, par l’atmosphère générale qui impose un nouveau mode de vie, une nouvelle « culture », une nouvelle « civilisation ».
L’école, de la maternelle à l’université, les médias officiels, diffusent une pensée unique politiquement correcte et sont les principaux agents de cette corruption de l’esprit et de la conscience.
L’homme nouveau doit être déraciné, privé de ses racines, nationale, religieuse, déculturé, privé de sa culture, de son histoire, décérébré, privé d’un cerveau réfléchissant, privé d’une pensée personnelle, nomade, migrant qui choisit son pays, qui change de pays, interchangeable, amovible, remplaçable, jetable, parce que tous les hommes sont indifférenciés et insignifiants, asexué, c’est-à-dire que le sexe biologique est négligeable, l’homme est « libéré » de l’assignation sexuelle, l’homme peut naître de sa propre volonté, comme s’il était délivré de l’héritage et du donné. L’homme nouveau doit être soumis, obéissant, docile, assujetti, servile, un esclave déguisé.
L’ordre libéral-libertaire entend asseoir définitivement sa suprématie dans la France de Clovis.
Un pouvoir centralisé tente de se mettre en place au niveau mondial. Il ne possède aucune légitimité démocratique. L’Union européenne en est l’illustration la plus frappante. Le Nouvel Ordre Mondial fait peser un risque d’extinction, non seulement sur l’humanité, mais encore sur toute forme d’intelligence.
Ce risque d’extinction est le plus grave que l’Histoire ait jamais connu. De fait, le projet est bel et bien d’achever l’Histoire. Le mondialisme cherche à exterminer l’espèce dans son entièreté, et encore au-delà, la simple capacité à l’articulation d’un discours signifiant. Nous avons connu l’envahisseur nazi. Aujourd’hui, l’ennemi du genre humain a changé. Il n’est plus identifiable à une zone géographique particulière. Il appartient à cette « classe transnationale de privilégiés », dont nous parle Jacques Attali. Cette oligarchie économiquement dominante travaille activement à l’architecture-système de la mondialisation, selon les modalités d’ingénierie.
Warren Buffet prétend que cette oligarchie est en train de gagner la guerre contre les classes populaires. D’autant plus facilement qu’une partie de ces classes populaires, fidèle à une culture gauchiste progressiste conformiste, enfumée par la propagande médiatique mondialiste, se laisse berner et adopte les principes et les codes du mondialisme, sur bien des points. Parmi ces classes populaires gagnées au mondialisme, des fonctionnaires, des enseignants, complètement formatés par cinquante ans de bourrage de crâne. La guerre est bien déclarée, c’est une guerre élites contre le peuple. L’ennemi commun prend le visage du Nouvel Ordre Mondial, fondé sur la stratégie du choc, le chaos planifié, les crises économiques programmées, la virtualisation du sens, le brandissement d’une menace terroriste, la crainte du réchauffement climatique, la peur du Coronavirus. Tout cela pour justifier la surveillance concentrationnaire des populations.
« Le postulat de base du transhumanisme est que l’évolution biologique finira par être dépassée par les progrès de la génétique, des technologies portables et implacables, qui accélèrent artificiellement le processus de l’évolution ».
La caste mondiale, ou m4, se rend compte qu’elle a la possibilité d’utiliser les nouveaux outils pour contrôler l’évolution biologique, 100 millions d’années d’évolution biologique, par laquelle l’homme a émergé de la soupe primitive, pour en arriver là où nous en sommes aujourd’hui (ceci d’après la théorie de l’évolution de Darwin, jamais prouvée scientifiquement).
La m4 croit que l’évolution a été cruelle pour l’homme et l’Humanité en général, parce qu’elle a développé beaucoup d’imperfections, comme établir le catholicisme, provoquer des guerres, façonner des traits de la personnalité qu’ils n’apprécient pas. Alors, ils prennent la main sur l’évolution, conçoivent ce processus aléatoire de manière intelligente, dominent ce qui est considéré comme une évolution biologique.
C’est exactement ce que dit le Forum Economique Mondial. L’évolution biologique finira par être dépassée par les progrès des technologies génétiques, portables et implacables, qui accéléreront artificiellement le processus de l’évolution. Ils sont en train de changer et d’accélérer le processus de l’évolution. La conception intelligente projetée sur le vivant a germé dans leur esprit. C’est ça le mécanisme de réinvention. Ils ont les outils nécessaires pour reconfigurer, remodeler l’homme.
Dans ce processus de destruction généralisée, le mondialisme est à l’œuvre, le mondialisme est l’ennemi n°1. L’islam, seulement un instrument, nuisible sous d’autres formes, n’a ici aucun pouvoir.
Montesquieu et Voltaire appelaient déjà sciemment à l’éradication de l’humanité ancienne. Leurs héritiers révolutionnaires, libéraux, socialistes, gauchistes, transhumanistes, continuent dans la même voie et disposent de tous les moyens.
Tous fréquentaient et fréquentent les loges.
Jean Saunier