« C’est pas de ma faute, c’est les autres! »
Dans une capsule télé totalement lunaire, Zelinsky s’adresse aux ukrainiens en expliquant que si la guerre est perdue, c’est pas sa faute à lui, c’est la faute à ses soutiens.
Il accuse ceux qui l’ont armé et financé de ne pas en avoir fait assez, alors que des gens de Washington débarquent actuellement en Ukraine pour analyser précisément ce qu’il est advenu des armes et du pognon, puisque Donald Trump demande ce qui a été fait de l’argent du contribuable américain.
C’est effectivement une enquête inutile, puisque tout le monde sait déjà que 60% des crédits se sont « évaporés ».
Fallait pas avoir fait « science po » pour comprendre qu’avec un pays pauvre arrosé annuellement depuis trois ans du double, voire triple de ses liquidités circulantes, avec une mentalité de « vas-y ! tapes dans la caisse…demain tu ne sais pas ce qui arrivera » rien n’allait se passer comme prévu.
Mais voir ce bouffon au T-shirt de Sean Penn accuser ses bienfaiteurs alors que le sang des ukrainiens coule encore en masse, se défausser de sa responsabilité parce que le costume était trop grand pour lui, ça m’épile à la cire la peau des c…
Ça devrait aussi nous interroger sur notre propre propension à ne pas savoir identifier des bouffons quand on en voit un.
Que fera Macron?
Évidemment qu’avec sa mentalité « merdique » il nous accusera nous, au lieu de se jeter du précipice de la honte, pour avoir détruit notre pays alors que lui ne connaît qu’une patrie, son « derge »….
Bref, le crépuscule des dieux est toujours le même.
On se retrouve avec des petits messieurs incapables d’assumer leurs échecs et qui au lieu de mourir de honte, se cramponnent au pouvoir comme des moules à un rocher ( ou des morpions…), pour boire jusqu’à la dernière goutte, le sang de ceux qui les ont fait roi.
Tous les Macron, les Trudeau, les Zelinsky, les Biden, les Johnson, etcétéra…, sont faits du même métal.: Un alliage d’orgueil, d’arrivisme, et d’égo à flatter, totalement ouvert à la possession démoniaque qui leur fait parcourir le chemin du Capitole à la roche Tarpéienne du haut de laquelle ils n’osent pas sauter.
Si la république romaine avait une qualité que nous n’avons plus c’est qu’elle était défendue par les prétoriens qui donnaient la poussée nécessaire dans le dos au plongeon historique, que Ciceron voyait comme l’abîme de l’échec.
Il est peut-être temps de les pousser de la falaise…
FD