NE LEUR PARDONNONS PAS, CAR ILS SAVENT CE QU’ILS FONT !!!

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TRIBUNE LIBRE DE TAMBOURINE MAN

NDLR : les points de vue exposés n’engagent que l’auteur de ce texte et nullement notre rédaction. Média alternatif, Burdigala Presse est avant tout attaché à la liberté d’expression. Ce qui implique tout naturellement que des opinions diverses, voire opposées, puissent y trouver leur place.

« Un jour, on supprimera l’âme au moyen d’un médicament. En partant d’une  »saine vue des choses », on trouvera un vaccin grâce auquel l’organisme sera traité dès la prime jeunesse, si possible dès la naissance même, afin que le corps humain n’en vienne pas à penser qu’il existe une âme et un esprit. »

            (Rudolf Steiner, La chute des esprits des ténèbres, 7 octobre 1917)

Un spectre semble hanter les cerveaux paranoïaques et pervers des puissances mondialistes : le refus de la connexion.

C’est toute la société qui désigne ses adversaires, les opposants à l’injection génique, le vaccin A.R.N. : mondes de l’économie, de la finance, de la politique (État, partis de toute tendance), du spectacle, des médiats, de l’éducation, de la science, les syndicats, le gauchisme, l’anarchisme. C’est toute la société qui se mobilise contre les opposants à la vaccination obligatoire, contre nous.

Les puissances auxquelles nous nous affrontons veulent accomplir la fameuse discontinuité (ils l’appellent la singularité) :

(The Singularity is Near) annoncée par le pape du transhumanisme, le grand ami de William Gates, Ray Kurzweil, pour les décennies proches, et pour cela elles doivent faire plier les  »réfractaires » au progrès (pas assez réfractaires malheureusement), gaulois et autres.

Depuis des années, des décennies, les puissances mondialistes (que nous connaissons bien mais qu’il n’est pas inutile de désigner à notre tour ; elles sont innombrables et sont logées jusque dans nos cerveaux, leurs laquais et esclaves sont partout, il n’y a pas que Gates, Soros, Google ou la C.I.A., la banque Rothschild ou la Fondation Rockefeller) font la promotion éhontée au moyen d’une propagande à la fois subtile et grossière pour la société prétendument inclusive, le fameux vivre-ensemble, … mais, semble-t-il, il n’est pas question de vivre avec les opposants à la nouvelle thérapie, avec les opposants au meilleur des mondes scientifico-cybernético-technologique transhumaniste que l’on nous prépare, ceux-ci doivent être écrasés.

La discrimination, l’inimitié et la ségrégation honnies sont tout d’un coup admises et même prônées:

Les anti-vaccins sont des dangers, des traîtres dans la guerre contre le prétendu virus et doivent être mis hors d’état de nuire par tous les moyens. Il devient tout à fait naturel, d’un jour à l’autre, de demander à une personne son passeport sanitaire pour rentrer dans un lieu public (hôpital, bibliothèques, café, …) et de refouler ceux qui ne l’ont pas.

On doit tout remettre en cause, tout déconstruire :

Marxistes, révolutionnaires et capitalistes rivalisent en ce sens, tout doit être déconstruit par une révolution satanique qui doit s’accélérer toujours plus. Les déconstructeurs accélérationnistes égalitaristes de la cancel culture veulent détruire le passé, l’histoire, les hiérarchies naturelles, la famille (plus de père, ni de mère, ni d’enfants conçus naturellement, on devait demander jadis le permis d’avorter, ce sera bientôt le contraire, il faudra demander le permis d’enfanter… au moyen d’un utérus loué ou artificiel), les frontières, les différences nationales, culturelles, sexuelles (chacun, même un enfant, doit pouvoir choisir son sexe), c’est toute la nature qui est pour eux, injuste, inégalitaire, voire fasciste et qu’il faut déconstruire …. On peut tout déconstruire, critiquer… sauf la nouvelle religion covidiste globaliste… et quelques autres sur lesquelles nous ne nous pouvons nous étendre.

Les mondialistes-modernistes assassins haïssent l’âme, le corps, les enfants et la nature.

Des enfants, ils n’en veulent plus, du moins ceux conçus par des moyens naturels, on n’a pas accordé assez d’importance à l’apparition de la novlangue mondialiste quand on a commencé à parler de fécondation artificielle, c’est toute la vie qui est maintenant devenue artificielle. L’enfant est lui aussi devenu une marchandise dont on peut se débarrasser par avortement jusqu’au neuvième mois de grossesse mais que l’on pourra acheter sur le grand réseau électronique ; les ventres des femmes (en tout cas occidentales et blanches dans un premier temps) doivent devenir stériles, les vaccins new age y pourvoiront.

La tentation de la dépopulation            

Zbigniew Brzezinski, le géopoliticien étasunien, déclarait en 1995 dans une conférence que 20% de la population suffirait à faire tourner la machine économique à plein régime, la question est : que faire des 80% superflus ? Sa solution est de leur accorder le minimum vital (le revenu universel) et du divertissement à haute dose (les zombis pucés consommeront des pizzas ou des kebabs commandés dans le grand réseau informatique mondial en regardant des séries télévisées, du sport, des émissions de télé-réalité ou des films pornographiques sur l’écran). Nous y sommes. Les surnuméraires doivent disparaître (avortement et euthanasie), mais pour ceux qui se veulent l’élite dirigeante : immortalité transhumaniste. La science-fiction et Hollywood nous avaient annoncé tout cela depuis longtemps.

L’artificialisation veut aller jusqu’à détruire les fondements de la vie naturelle.

Les mondialistes veulent un monde d’hommes  »augmentés »,  »remodelés », c’est-à-dire de robots, de cyborgs et de zombis, contenant nano-robots et nano-particules, reprogrammables de l’extérieur, que l’on peut remettre à jour à l’envi (comme on le fait pour les ordinateurs), totalement manipulables. L’utopie technologique de la fusion de l’homme et de la machine, de la création d’une nature artificielle, ne date pas d’hier, mais au moins de la Renaissance, Kurzweil ne surgit pas de nulle part, les kabbalistes et Pic de la Mirandole sont ses ancêtres.

Les médiats qui sont aujourd’hui devenus la seule réalité

Ils se sont certes surpassés dans l’abjection et l’ignominie, mais il serait erroné de le leur reprocher car, après tout, ils ne font que le travail pour lequel ils sont payés… et rien ne nous oblige de les regarder et d’avoir affaire avec eux.

Les Lumières, la Science, le Progrès, la Démocratie, idéaux éclairés et terroristes de 1789, avaient promis à l’humanité, le bonheur, la liberté. Deux siècles plus tard, faillite totale, c’est un despotisme sans fards qui se met en place. La liberté n’est plus que celle de choisir entre Coca Cola et Pepsi Cola, entre l’injection de Pfizer ou l’injection de Moderna.

Il est nécessaire et indispensable de désigner ses ennemis :

Certes, mais il ne faut pas négliger les ennemis qui sont en nous, implantés comme des nanoparticules, et qu’il faut extirper pour survivre et vivre. Ce qui advient aujourd’hui et qui était préparé et planifié depuis des décennies, nous en sommes largement responsables. Ce serait se donner facilement bonne conscience que de le nier. Ce sont nos faiblesses, nos capitulations et nos démissions successives qui ont permis le succès de la révolution arc-en-ciel aux multiples visages qui déferle sur la planète depuis plus d’un an et demi.

La théorie pasteurienne en question

La théorie pasteurienne (Pasteur est un  »héros de la science » mais avant tout un véritable mystificateur et escroc) de la maladie comme résultat de l’agression de l’organisme par des bactéries, des virus, et autres (ainsi que la prétendue production d’anticorps liée au dogme de l’immunisation), est une absurdité qui ne sert qu’à justifier la pratique de la vaccination (et les profits monstrueux de Big Pharma qui en découlent) et la démission et la lâcheté des êtres humains civilisés, elle permet de ne pas remettre en question son propre mode vie car un être en bonne santé (non vacciné et non empoisonné par les antibiotiques) ne devient pas subitement malade. Les virus sont plus effets que causes de la  »maladie ».

La peur pour manipuler les masses

Les êtres humains par peur de la vie, par peur de mourir, pour accéder à la sécurité, ont démissionné depuis longtemps et se sont abandonnés à la protection de la prothèse matérielle et idéelle : la technique, le confort, la consommation et la communication illimitées et aberrantes, l’universalisme, l’information, les loisirs, les drogues, l’étourdissement, la distraction, la facilité urbaine. Les êtres humains ont accepté, avec enthousiasme, les progrès de la médecine avec ses victoires et ses beautés : les vaccins (les vaccins A.R.N. ne surgissent pas du néant), les antibiotiques, les greffes d’organes (l’organisme étant conçu comme une machine dont on peut changer les organes comme des pièces détachées, la première greffe du cœur date de 1967), l’industrie nucléaire, l’agriculture chimico-agricole, les laboratoires de virologie, le téléphone portable, les armes de destruction massive de Saddam Hussein ou les charniers de Timisoara, sans oublier le grand réseau électronique mondial qui permet l’esclavage généralisé avec la 5G, elle aussi demandée par le troupeau humain largement abruti et terrorisé qui exige également de se faire injecter un vaccin (dont elle ne veut pas connaître la composition), qui est « l’abomination de la désolation ».

 Nous sommes tous – plus ou moins évidemment le mouvement de refus du vaccin le prouve – , que nous le voulions ou non, dépendants de cette prothèse par paresse intellectuelle et physique. Les mondialistes modernistes écologistes (eux qui sont les principaux destructeurs de la nature) détestent avant tout l’autonomie, l’autarcie, etc., la déconnexion d’avec leurs grands réseaux cosmopolites, ils veulent imposer leurs poisons de l’âme et de l’esprit (médicaments et aliments), une vie  »sans contact » à des esclaves connectés, sans plus aucune intériorité, et un monde sans plus aucune spiritualité ni transcendance.

La seule façon d’échapper à ce monde industriel et post-industriel méphitique est de fonder une vie plus simple, sans doute plus rude et moins facile, mais communautaire, naturelle, libre.

                                                           Mr. Tambourine Man,

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