Victoire par KO du Pr Perronne, dans le silence des medias!

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Il est important de dénoncer les injustices, mais il est plus crucial encore de relever les bonnes nouvelles et ce, d’autant plus dans la folie et le chaos du monde actuel, qui s’est considérablement accéléré depuis la folie covidiste.

Aussi, aujourd’hui, c’est une bonne nouvelle pour le monde de la santé et du libre arbitre et de la (vraie) science !
L’affaire n’est pas récente.

En effet, les plaintes reçues à l’encontre du Professeur datent de 2020 et avaient fait l’objet d’une communication massive dans les medias « de grand chemin ».

Ainsi, Christian Perronne était accusé par le Conseil national de l’Ordre des médecins d’avoir violé le Code de la santé publique en ayant “gravement mis en cause des confrères ayant pris en charge un membre de sa famille ou ayant participé à des décisions sanitaires des pouvoirs publics” et en n’ayant pas “apporté son concours aux actions de santé publique mises en place par le gouvernement”.

Pire encore, on lui reprochait “d’avoir dénigré les politiques de santé publique mises en place durant la crise du Covid-19” par des propos “outranciers” et “anti-vaccin”.

A croire que le Conseil de l’Ordre n’a simplement pas accepté de voir un médecin exprimer son propre avis et aller à l’encontre de la doxa soutenue par les autorités…

D’autre part, le Pr Perronne était également accusé par un confrère, le Dr Nathan Pfeiffer-Smadja de l’avoir “attaqué personnellement (…) sur la valeur scientifique de ses publications”.

Alors interne à l’hôpital Raymond-Poincaré de Garches où travaillait également le Pr Perronne, le jeune médecin s’était senti dénigré par certaines critiques médiatisées du Professeur sur l’une de ses études et avait choisi de saisir la justice.

Entraînant ainsi la suspension des fonctions de Christian Perronne au sein de l’AP-HP.

Ainsi réunies dans une sorte de “package” promotionnel, ces différentes procédures judiciaires semblaient être l’occasion parfaite de ternir une bonne fois pour toute la réputation de ce médecin anticonformiste. Oui… mais non ! Pourtant, ce vendredi 22 octobre, c’est une toute autre nouvelle qui a été annoncée par l’avocat du Professeur :

La chambre disciplinaire de première instance d’Île-de-France de l’Ordre des médecins a donné entièrement raison au Professeur Perronne ! Nous verrons si l’affaire vient en appel, ce qui serait le signe d’un acharnement contre le Pr Perronne.

Concernant l’affaire du Dr Pfeiffer-Smadja, elle a conclu que le Professeur ne s’était pas montré discourtois envers son collègue, qui, à l’inverse, s’est vu sanctionné d’un avertissement pour ses “tweets insultants et injurieux” envers Christian Perronne.

Un beau retournement de situation, qui pourrait peut-être même signer le retour du Professeur à ses fonctions au sein de l’hôpital Raymond-Poincaré.

Quant aux remarques de Perronne sur la politique sanitaire durant la pandémie, la chambre disciplinaire considère “qu’au regard de sa qualité d’infectiologue internationalement reconnu, il avait l’obligation de s’exprimer dans le domaine qui relève de sa compétence, durant la crise du Covid-19”.

Voici la citation complète :

“Le Dr Perronne, spécialiste internationalement reconnu comme un expert dans le domaine de l’infectiologie, était le mieux à même de comprendre les enjeux de santé publique. 

S’il s’est exprimé dans la presse sur l’action du gouvernement et sur l’industrie pharmaceutique, ainsi qu’il était légitime à le faire et en avait même l’obligation dans ce domaine qui relevait de sa compétence, il s’est borné à porter publiquement, mais sans invectives, une voix discordante sur un sujet d’intérêt général”.

Cerise sur le gâteau, pour la chambre disciplinaire, le Pr Perronne n’a, à aucun moment, tenu un discours anti-vax !

En effet, voici ce qu’elle a conclu :

“Il ne ressort d’aucune des pièces du dossier que ces propos n’entraient pas dans le cadre de la crise sanitaire et qu’à à quelconque moment il aurait appelé à la violence, ou incité à la haine ou eu un discours anti-vax”.

Même en ce qui concerne l’hydroxychloroquine, elle considère que ses propos “n’ont pas mis en danger l’action entreprise par les pouvoirs publics, dont les orientations ont changé à plusieurs reprises au cours de la période en cause”. 

Voilà, qui risque de mettre un coup dans l’aile à ses détracteurs !

Bien évidemment, à l’annonce de ce verdict inattendu, le Conseil national de l’Ordre a déjà annoncé vouloir faire recours rapidement.

Mais c’est aussi une belle victoire pour la liberté d’expression dans le monde médical.

Le monde aurait-il retrouvé un peu de sa raison ?

On aimerait y croire…

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