Des faits monstrueux sont connus en Angleterre depuis plusieurs décennies dans plus de 30 villes (Rotherham, Telford, Rochdale, Birmingham, Oxford entre autres). Des milliers (les chiffres estimés varient de 50 000 à 250 000…) de très jeunes filles blanches chrétiennes de la classe populaire déclassée ont été mises en esclavage sexuel et torturées par des gangs de pakistanais. Ces faits, pourtant connus depuis les années 2000, ont été l’objet une omerta insidieuse notamment en étant classés comme faits divers. Ils auraient dû faire les gros titres des medias anglais et européens dans une société normale et entraîner des suites judiciaires et politiques. On pouvait penser logiquement qu’à l’ère de Metoo, « balance ton porc », ou plus récemment l’affaire Pélicot l’exploitation sexuelle de masse de très jeunes filles aurait motivé un scandale planétaire.
C’est une affaire effroyable que nous suivons depuis plusieurs années. ! Les efforts pour faire émerger cette affaire sur les réseaux sociaux étaient restés jusqu’ici vains, et le système s’est borné à quelques articles cantonnés à la rubrique faits divers, quelques articles de la grosse presse ou des enquêtes dont les conclusions étaient systématiquement ignorées malgré la gravité des faits signalés. Citons notamment Jayne Senior et l’association Risky Business, le Pr Angie Heal qui publie un rapport en 2003 et en 2006, le journaliste Andrew Norfolk du Times (qui déplore que ce soit du « pain béni pour l’extrême droite »…) et surtout Tommy Robinson qui a fait un énorme travail de soutien et d’interview des victimes, ce qui lui a valu plusieurs incarcérations arbitraires dont une actuelle de 18 mois. Et puis Zorro est arrivé, Elon Musk a tweeté et l’affaire semble maintenant difficile à étouffer !
Essayons de distinguer les différents enseignements de ce scandale absolu, quel que soit l’angle d’analyse, y compris selon les critères progressistes actuels (féminisme, racisme…).
Il s’agit tout d’abord d’un authentique scandale raciste, chimiquement pur ! En effet, ces fillettes étaient choisies exclusivement et nommément, selon les éléments fournis par les enquêtes, parmi ces « putes » blanches anglaises de souche. Ne s’agit-il pas d’un cas de racisme systémique dont on nous rebat les oreilles à propos des blancs ? Et les violeurs sont exclusivement issus de communautés musulmanes du Pakistan ou de zones musulmanes d’Inde. Les actes de viols étaient accompagnés d’actes de torture et humiliation dont la description donne la nausée. Des meurtres ou des décès par overdose, avortements à répétition, ou, comme dans le cas de la petite Lucy, l’incendie de la maison de famille où elle a péri avec son bébé. Tout ceci est parfaitement documenté et factuel.
C’est un véritable acte de domination et de conquête. Depuis la nuit des temps les conquérants ont pratiqué les viols de masse sur les femmes des pays conquis et ces actes sont qualifiés à notre époque en droit international comme crimes de guerre. De plus la culture musulmane des pakistanais favorise ces actes immondes, par sa vision de la femme élargie aux fillettes de 9 ans : le coran lui-même ne sanctifie t’il pas la relation du prophète avec Aïcha ? Oui nous sommes en guerre, au sens défini par Carl Schmitt, car c’est l’ennemi qui nous désigne comme tel et il est très clair dans son message !
C’est la conséquence de la corruption des esprits par l’idéologie diversitaire antiraciste. Malgré les innombrables plaintes et signalements à la police et aux services sociaux, les enquêtes, les quelques interventions d’élus et même quelques condamnations sporadiques par les tribunaux tout est resté à bas bruit, minimisé et réduit à la dimension de fait divers. Tous les éléments connus démontrent en effet que la plupart des intervenants ont enterré ces affaires par peur d’être accusés de racisme et de faire le jeu de l’extrême droite. Il y a même des cas où la police, alertée, intervenait et trouvait une gamine nue dans une pièce avec plusieurs violeurs et où c’est cette dernière qui a été embarquée pour ivresse et trouble à l’ordre public !
L’idéologie antiraciste agit donc sur la société comme un véritable Sida mental comme le disait le regretté Louis Pauwels. On assiste donc à un mélange de lâcheté, de corruption et de complicité idéologique caractéristique de notre époque. On peut même discerner de la part des élites un mépris de classe pour les « petits blancs » sans valeur, sacrifiés sur l’autel du vivre ensemble mondialiste …. On avait déjà pu mesurer ce mépris lors des émeutes de cet été suite au massacre de 3 fillettes à Southport où des gens des classes populaires se sont retrouvés en prison pour des publications sur les reseaux sociaux !
Quelle est la réaction du système et de l’Etat profond ?
L’affaire ayant connu, grâce à Elon Musk, une mise en lumière massive, le système en panique totale a mis en œuvre toute une palette d’éléments de langage. Tout d’abord disqualifier le messager, par le recours au qualificatif d’extrême droite, procédé classique de la « reductio ad hitlerum ». Tommy Robinson en est la victime évidente. Ensuite en affirmant que ce sont de vieilles affaires maintenant réglées et sur lesquelles tout a déjà été dit. La dénomination « grooming gangs » était déjà une opération sémantique édulcorante car ce terme de grooming signifie manipulation, préparation, toilettage …donc finalement assez vague par rapport à la réalité d’une mise en esclavage sexuel ! Et enfin l’accusation d’ingérence dans les affaires d’un état souverain par Elon Musk. Le recent vote de la chambre des députés contre une commission d’enquête, afin de protéger Keir Starmer dont la responsabilité est écrasante, est le signe supplémentaire s’il en était besoin de la pourriture d’un système politique à bout de souffle. A noter également l’absence totale de la monarchie dans cette affaire ! Mais le plus significatif est le silence total des féministes et wokistes de tout poil. Il s’agit pourtant d’une affaire Pélicot à la puissance 1000 et celle-ci a fait l’objet d’une couverture mondiale, à juste titre du fait de son abjection totale, on peut à juste titre la comparer à un grooming gang isolé.
Cela est il possible en France ? Tous les ingrédients sont présents en France à l’exception du communautarisme tel qu’il existe au Royaume Uni et qui permet l’application de la charia puisque des tribunaux islamiques opèrent en toute légalité. Mais les zones de non France par leur extension sont peut être déjà en train de mettre en place des systèmes semblables : des réseaux de prostitution ethniques existent en effet dans les territoires perdus.
Jusqu’à quand supporterons-nous de telles monstruosités ?
Laisserons nous des patriotes lanceurs d’alerte comme Tommy Robinson moisir en prison ?
Dans tous les cas, « la vérité nous rendra libres » et elle est en route !