Zemmour n’est pas un homme à «déconstruire»!

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Une tribune collective des «Femmes avec Zemmour»

Plus de 200 femmes signent une tribune en soutien à Eric Zemmour


Françaises, nous sommes chaque jour plus nombreuses à soutenir Eric Zemmour, car nous sommes convaincues qu’il est le seul capable de nous tirer des abîmes de nihilisme dans lequel la classe politique s’évertue à nous noyer. Eric Zemmour serait ce mâle blanc, hétérosexuel de plus de cinquante ans, qui revendique l’héritage de notre civilisation française et chrétienne, et est devenu par conséquent l’homme à déconstruire.

On nous explique que nos « petits problèmes » vont être réglés lorsque les trottoirs seront plus larges, lorsque les garçons joueront à la dinette, ou que l’on aura martyrisé notre langue à coups d’autrices et de pompières.

Nous sommes étudiantes ou mères de famille, salariées ou chefs d’entreprise, infirmières ou avocates, universitaires ou serveuses, toutes mues par une même certitude : nous ne voulons pas qu’une poignée de militantes déconnectées du réel s’arroge le monopole de la représentation des femmes dans les médias et dans l’espace public, derrière la bannière contestable du « néo-féminisme ».

Le modèle français menacé

Leur tribunal implacable fait chaque jour de nouvelles victimes. Cette inquisition, relayée par les médias, distribue les certificats de vertu, les bons et les mauvais points, fait et défait les réputations, se mêle de tout, et surtout de ce qui ne la regarde pas. Elle s’occupe de notre sexualité, de nos copains, de nos maris, de nos patrons, de notre panière à linge et des jouets de nos enfants. Nous voulons mettre un terme à cette tyrannie sournoise et omniprésente qui se glisse jusque dans nos relations les plus intimes.  

Eric Zemmour est le seul candidat à dénoncer avec vigueur et pertinence les ravages du néo-féminisme, et des idéologies qui l’accompagnent. Cancel culture, wokisme, intersectionnalité, autant de mots barbares pour recouvrir une seule et même réalité : la mise à mort de ce qui fait l’essence et la beauté de notre civilisation et de notre identité. Nous sommes les héritières d’une culture millénaire qui estime et valorise la femme. Une civilisation où la femme a toute sa place. Une femme libre et créatrice, honorée et respectée, pour un modèle envié à travers le monde.

Osez la féminité !

Seul Eric Zemmour ose remettre les choses en place avec énergie et bon sens. Lui seul dit tout haut ce que nous sommes tant à penser tout bas. Non, l’urgence d’aujourd’hui, pour des millions de femmes, n’est pas la question de la parité dans les comités exécutifs mais celle de la fin du mois ! Oui, le meilleur pour un enfant reste d’être élevé par son père et sa mère ! Non les hommes ne sont pas nos ennemis mais nos pères, nos frères, nos fils et nos maris.

Il est temps de remettre nos valeurs à l’endroit, à l’école, à l’université, dans la rue et au travail. Eric Zemmour peut nous y aider : il a les convictions pour cela, et le courage de les assumer quand tout vise à le faire taire. A ses côtés, nous voulons oser la féminité, et non ce féminisme dévoyé. Une féminité fière, épanouie et réaliste. Nous assumons pleinement l’attribut féminin qu’est la maternité mais refusons d’être réduites à des « personnes » munies d’un vagin ou d’un utérus. Filles d’Héloïse, de George Sand, de Coco Chanel et de Brigitte Bardot, nous croyons que l’amour est un sentiment, mais pas l’insécurité.

Théorie du genre, cours d’école, écriture inclusive, fable du patriarcat…

Eric Zemmour est aujourd’hui le seul à avoir compris ce qui nous met véritablement en danger, nous les femmes de France. Lui seul dénonce l’arrivée massive, sur notre sol, d’individus modelés par une religion et une civilisation, l’islam, qui a fait de la femme depuis des siècles la reléguée perpétuelle. Et pendant que les beaux esprits chassent « les propos déplacés » dans les salons parisiens, nous sommes priées d’éviter certains quartiers et de rallonger nos jupes pour emprunter le métro. La violence gratuite, la peur au ventre sont notre quotidien. Comment oublier Chahinez brûlée vive par son mari, Laura et Mauranne, poignardées en plein jour à la gare de Marseille, Axelle, traînée sur 800 mètres par la voiture de son agresseur, Stéphanie, égorgée dans le sas de son commissariat.

Et ces maux dont nous, les femmes, sommes les premières victimes, se trouvent dramatiquement amplifiés par le délire idéologique ambiant : le coupable universel est désigné, ce serait le patriarcat occidental. Voilà qui permet d’éviter de nommer les choses ou de répondre avec réalisme au drame des viols ou des agressions.

On nous explique que « nos petits problèmes » vont être réglés lorsque les trottoirs seront plus larges, lorsque les garçons joueront à la dinette, ou que l’on aura martyrisé notre langue à coups d’autrices et de pompières.

Nous préférons des hommes qui construisent des EPR pour projeter notre pays vers l’avenir avec responsabilité, plutôt que des femmes qui jettent des sorts et l’enferment dans les pires archaïsmes. Nous voulons aussi des femmes qui construisent des EPR, sauf que pour nous, la prime doit aller à la compétence, et non aux quotas cache-misères. Nous ne voulons pas de ces fausses solutions qui dévalorisent les femmes et méprisent leurs vraies souffrances.

Une chose est sûre, nous continuerons de dénoncer avec force la trahison et la lâcheté des politiciens de tous bord qui ont repris à leur compte l’idéologie folle portée en France par la vague #BalanceTonPorc, les « écoféministes » et leurs porte-paroles.

Résolument, nous l’affirmons : aujourd’hui, pour la France, le candidat des femmes est Eric Zemmour.

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