Un « référent à l’éducation affective » condamné pour pédopornographie !

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Cet été, de nombreux « référents à l’éducation affective » ont été nommés pour former les enseignants du primaire à l’« éducation à la vie affective et relationnelle » dans le cadre du programme EVARS.

Mais en Lozère, tout ne s’est pas passé comme prévu. L’un de ces nouveaux « conseillers pédagogiques » a déjà été suspendu de ses fonctions, comme le révèle Médiapart.    Ancien directeur d’école, cet homme avait été condamné en 2011 pour… détention d’images pédopornographiques.

L’EVARS est déjà un programme particulièrement controversé, car il prévoit de laisser à l’Education nationale le « soin » d’« éduquer » les enfants à la « sexualité » dès le plus jeune âge, dans un programme qui prévoit notamment la « sensibilisation » à l’idéologie transgenre. Il semble donc que le parcours des personnes chargées de faire passer ce programme n’est pas examiné, ce qui est proprement scandaleux.

Nous avons publié il y a plus d’1 an un dossier sur les interrogations légitimes à ce sujet :  https://burdigala-presse.fr/sexualisation-des-enfants-le-cese-a-fond-les-manettes

Les indices concordent maintenant pour envisager le fait que cette initiative coordonnée au niveau mondial par l’OMS a pour but de favoriser la pédocriminalité, à rebours des intentions affichées.

Les élites mondiales semblent particulièrement concernées, mais un vaste mouvement de résistance se fait jour, en particulier sous l’impulsion de Donald Trump.

Nous devons résister de toutes nos forces à cette descente dans l’abîme où nous entraîne le Nouvel Ordre Mondial, destructeur des identités et des traditions séculaires, dans le projet « progressiste » transhumaniste de création d’un homme nouveau.

2 COMMENTAIRES

  1. This article raises serious concerns about the vetting of educators in sensitive programs like EVARS. The idea of someone convicted of child porn being involved is deeply unsettling and demands immediate attention.

    • traduction : Cet article soulève de sérieuses inquiétudes quant à la sélection des éducateurs dans des programmes sensibles comme EVARS. L’idée qu’une personne reconnue coupable de pédopornographie soit impliquée est profondément troublante et nécessite une attention immédiate.

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