Conflit Inde Pakistan : qui agresse l’autre en permanence ?

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Depuis 1947, le Pakistan ayant perdu toutes ses guerres contre l’Inde, encourage des groupes terroristes formés et entraînés sur son territoire, à frapper l’ennemi héréditaire. Avec le courage des lâches fanatiques qui assassinent des civils désarmés. Régulièrement, des Indiens commerçants, artisans ou touristes sont mitraillés par des djihadistes manipulés par l’ISI les services secrets pakistanais, et appuyés par des unités régulières sous couverture.

S’y ajoutent des escarmouches frontalières qui n’ont jamais cessé au Kashmir coupé par la « ligne de Contrôle » marquant une frontière de facto entre les deux pays… Les attentats ont aussi débordé en Inde puisque, pour les islamistes, le sous-continent est une terre d’islam depuis 1200 ans et doit impérativement leur revenir dans sa totalité.

Assassinats de femmes et d’enfants, bombes dans les temples hindouistes ou bouddhistes et dans les cinémas, grenades et tirs dans les hôtels et les hôpitaux, mitraillages sur les marché et dans les gares routières, trains piégés pour les faire dérailler, la liste sanglante et monotone de leurs exactions, avec des milliers de morts civils et de blessés, rien qu’au XXIe siècle, est donnée ici.

Les derniers épisodes d’une guerre sans fin

En février 2010, les jihadistes de Jaish-e-Mohammad libres d’agir au Pakistan, revendiquent la mort de 40 paramilitaires indiens à Pulwama les autorités sont très impliquées contre le trafic de drogues.

Tenant le Pakistan pour responsable, l’Inde lance un raid aérien avec 12 Mirage armés de bombes guidées de 1000 kg contre les positions du groupe terroriste dans la région de Balakot, non loin de la ligne de séparation. Dans cette opération, un grand nombre de terroristes et de commandants jihadistes furent éliminés. Les jours suivants, plusieurs confrontations opposèrent les forces aériennes des deux pays.

Depuis 2011, les tensions paraissaient apaisées (tout est relatif !) jusqu’au 22 avril 2025 quand un groupe de cinq courageux djihadistes ont assassiné à Pahalgam, Jammu-et-Cachemire, 28 touristes, parce qu’ils n’étaient pas musulmans. Un attentat revendiqué par les terroristes de Lashkar-e-Taiba, de mèche avec les services secrets d’Islamabad.

La suspension du traité qui régule le passage des eaux de l’Indus, indispensables à l’agriculture pakistanaise qui représente 25 % du PIB, et les accrochages aériens ne sont qu’un début. Même si l’éradication des métastases du cancer islamique relève du mythe de Sisyphe.

En tout cas en Inde, l’opération Sindoor est soutenue par la totalité de la classe politique, opposition progressiste comprise. Ça fait rêver en France… Les plus virulents adversaires de Modi ont voté pour qu’il continue de faire pression sur le Pakistan afin que le voisin livre les responsables du massacre d’innocents touristes à Pahalgam.

Quant à l’usage de l’arme nucléaire… La doctrine de l’Inde est de ne pas s’en servir en premier. Tandis que ceux d’en face, menacent de l’utiliser en cas de défaite militaire conventionnelle. Une réponse appropriée sera peut-être le prix à payer pour se débarrasser de ces fanatiques.

Les médias menteurs prennent ouvertement fait et cause pour le Pakistan

Avec des méthodes de désinformation semblables à celles utilisées pour évoquer le conflit OTAN contre Russie. Où, à les lire et les entendre, une personne non prévenue, débarquant de Sirius, pourrait croire que l’invincible armée ukrainienne ou pakistanaise vole de victoire en victoire.

Leurs pertes en hommes et en matériel sont systématiquement minorées, toute escarmouche en cours est présentée comme une avancée stratégique, et les journaleux du Nouvel Ordre Mondial recopient, sans en changer une virgule, les communiqués de victoire de Kiev ou d’Islamabad. Assortis des pleurnicheries du nabot Zygomyr ou des imprécations des muftis quand la propagande ne peut cacher une frappe ennemie réussie.

Dans le conflit indo-pakistanais, la seule source d’information des médias menteurs semble être le ministère de la vérité coranique d’Islamabad. Dont ils reprennent les envolées martiales destinées à entretenir le moral des populations et l’agressivité des djihadistes.

Certains rapports et images de combats aériens ont l’air d’être extraits de jeux vidéo, comme au début de la guerre en Ukraine.

Reconnu par des internautes, le jeu ARMA 3 a perdu son statut informatif pour être présenté comme pédagogique. N’empêche qu’un certain flou demeure sur le sort des avions engagés dans les affrontements entre l’Inde et le Pakistan. .

Ainsi les Pakis parlent du combat aérien « le plus long et les plus important de l’histoire récente de l’aviation ». Rien de moins ! Où un «Rafale» aurait été descendu, sur un ensemble de 125 avions engagés, sans que les mahométans présentent une seule preuve probante. Peut-être disent-ils vrai, mais on a pris l’habitude en Ukraine de voir les médias aux ordres qualifier de jets abattus, de simples drones kamikazes dont les débris éparpillés, filmés sous un certain angle, contribuaient à entretenir l’illusion.

En toute hypothèse, on relève une anomalie dans les dires des Pakis. Ceux-ci affirment que le « dog fight » du 7 mai n’aurait jamais débordé dans leur espace aérien. Est-ce pour ne pas reconnaître que l’Inde, après avoir détruit de nombreux radars, a effectué des incursions sur leur territoire ? Ou les combats ont-ils réellement eu lieu à distance par échange de missiles, jusqu’à 160 kilomètres, sans déborder de leurs espaces aériens respectifs ?

Des rumeurs ont couru sur les réseaux sociaux sur de possibles pertes de « Rafale » vendus à l’Inde par la France. Islamabad affirme en avoir abattu trois, plus deux aéronefs de fabrication russe, un Soukhoï Su-30 et un MiG-29. Quand on connaît les capacités de ces appareils, on a de la peine à croire que les Pakis sont les meilleurs pilotes du monde. D’autant qu’ils n’auraient subi aucune perte. D’ailleurs, la plupart des vidéos et des photos qui ont circulé sur X (ex-Twitter) ont été identifiés comme sans rapport avec le conflit en cours.

Il n’en demeure pas moins que l’armée indienne ne paraissait pas bien préparée. Aurait-elle sous-estimé l’ennemi ? Jusqu’à présent, la doctrine qui avait cours était : « On frappe les premiers, vite, par surprise, et on dégage. »

Alors, soit il y a eu des déficiences au niveau de l’entraînement et du commandement, soit des mahométans infiltrés dans les bases aériennes de l’Inde ont informé leurs coreligionnaires des mouvements des zincs adverses.

C’est d’autant plus facile que les populations du Penjab, de chaque côté de la frontière, sont de même race et parlent les mêmes langues. Seule la religion les différencie. Or s’il est relativement facile à un mahométan de faire profil bas et de se prétendre Hindou… L’inverse n’est pas possible tant ces fanatiques à la foi ostensible épient les moindres faits et gestes des « croyants » afin de détecter et punir les mauvais musulmans.

Alors bien sûr, on vilipende la décision du gouvernement de New Delhi de limiter la circulation des infos sensibles sur les réseaux sociaux. Par contre, personne n’ose critiquer le verrouillage systématique de l’info par Islamabad. Pour mieux valoriser ses tonitruants communiqués de victoire.

Christian Navis

https://climatorealist.blogspot.com/

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