“On peut être optimiste, si les Européens prennent le relais, la guerre peut continuer”.
Je ne sais pas si vous vous rendez compte de la portée de tels propos.
Être des artisans de paix devrait être l’objectif de toutes les personnes sensées.
La guerre est une abjection, l’alimenter est un crime contre l’humanité que de très nombreux journalistes et autres va-t-en-guerre semblent avoir oublié. Pour eux les crimes sont à géométrie variable.
Si l’histoire est écrite par les vainqueurs, il se pourrait bien que ces bellicistes soient les perdants et à tout le moins une retenue serait de bonne aloi.
Mais non.
Ils veulent la guerre.
Toujours plus de guerre alors que l’Union Européenne est exsangue.
Vous savez pourquoi ?
Parce que les europathes qui nous dirigent pensent que l’Union Européenne pour exister en tant que nation a besoin d’une guerre pour naître dans l’esprit des gens.
Nous sommes sacrifiés, Ukrainiens comme Russes sur l’autel d’ambitions de psychopathes.
https://x.com/Insolentiae/status/1894080273689506108
Vers un Yalta 2.0, n’en déplaisent aux va-t-en-guerre !
Vous avez entendu parler du great reset de Davos et de Klaus Schwab.
Il s’agit d’une réinitialisation mondialiste, globaliste, avec pour objectif un gouvernement mondial.
Mais il y a un pendant. Le RESET souverainiste, et Donald Trump pourrait fort bien le déclencher.
Nous en avons tous les signes avant-coureurs. Alors justement, comment savoir ce qu’il pourrait se passer. C’est cette réflexion que je vous propose de partager avec vous aujourd’hui.
Elle est essentielle.
Elle est d’une immense importance, car nous pourrions être en train de vivre un moment Yalta 2.0, un moment Bretton Woods 2.0 avec toutes les conséquences que cela va provoquer sur nos vies, nos pays et nos économies.
En 1945, la Conférence de Yalta en Crimée, qui désormais appartient à la Russie suite à l’annexion par Poutine de cette région qui avait été donnée à l’Ukraine… sacré pied de nez de l’histoire, avait acté un partage du monde et la répartition des zones d’influences entre les grandes nations de ce monde.
Puis, la conférence de Bretton Woods a permis de mettre en place un système monétaire international et des institutions pour la gouvernance mondiale de l’époque.
Nous vivons encore aujourd’hui, essentiellement sur cet héritage.
Le monde a effectivement besoin de changer et de faire évoluer aussi bien son système monétaire international que sa gouvernance mondiale pour mieux fonctionner.
La question est de savoir quelle approche va l’emporter… l’approche souverainiste ou globaliste. Le résultat sera radicalement différent et le monde aussi.
L’autre question est de savoir quelles conséquences cela peut avoir sur nos vies, nos patrimoines et nos économies.
C’est une hypothèse crédible d’une grande réinitialisation souverainiste
Charles Sannat