L’« armée de l’ombre » de la gauche anti-nationale

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Les récentes manifestations contre la réforme des retraites ou contre les « méga-bassines » ont été émaillées violences perpétrées, le plus souvent, par des groupuscules d’extrême-gauche – ce qui n’empêche pas les journalistes et nombre de politiciens de parler principalement de violences d’extrême-droite, pourtant inexistantes.

Toujours est-il que l’Assemblée a lancé une commission d’enquête sur ces groupuscules violents., présidée par le député LR Patrick Hetzel, et dont le rapporteur est le député Renaissance Florent Boudié.

Le rapport de cette commission est attendu à l’automne mais, d’ores et déjà, une première communication a été présentée à la fin du mois de juillet, après une trentaine d’auditions.

Bien des éléments sont intéressants dans ce point d’étape.

Notons tout d’abord l’expression de Florent Boudié qui évoque une « armée de l’ombre » – souhaitant en découdre avec les forces de l’ordre et se solidarisant, pour cela, avec à peu près n’importe quelle manifestation (il ne le dit pas, mais j’ajouterais : n’importe quelle manifestation de gauche !).

Cette réalité est fort inquiétante : il était déjà problématique que les « gros bras » de la CGT ou de tel service d’ordre politique soient parfois capables de faire le coup de poing avec la police.

Il est encore beaucoup plus gra­ve qu’une « armée » entraînée, à l’idéologie vague, lutte systématiquement avec les forces de l’ordre.

On a l’impression que la France est occupée par une puissance étrangère tant notre classe politique sert fréquemment les intérêts de l’anti-France. Mais c’est une étape supplémentaire que nous franchissons si, au sein même du pays, une véritable armée s’organise et s’entraîne pour lutter contre les forces de l’ordre.

D’ailleurs qui finance cette « armée de l’ombre » ?

Esperons que le rapport de la commission nous donnera des éléments mais, dans le monde, nous savons que des groupuscules violents comme Black Lives Matter ou les Antifas ont été copieusement arrosés par les oligarques gauchistes comme George Soros, par l’intermédiaire de multiples fondations, luttant officiellement pour les droits de l’homme.

Dans une récente communication on peut cette remarque très juste de Patrick Hetzel : certains membres de ces groupuscules violents ont intégré le fait que « seule la violence paie ».

Les quinquennats de François Hollande et d’Emmanuel Macron ont été désastreux de ce point de vue.

François Hollande en méprisant et en piétinant certaines des plus importantes manifestations de l’après-guerre, les très calmes « manifs pour tous », a manifesté que le pouvoir était désormais hermétique à toute manifestation pacifique.

Emmanuel Macron, de son côté, en cédant aux très minoritaires « zadistes » de Notre-Dame des Landes, malgré d’innombrables consultations des collectivités et des riverains, a manifesté que la violence « payait ».

Comment s’étonner qu’avec ce dialogue politique et social bloqué par l’arrogance et la surdité volontaire des dirigeants, cette violence prolifère ?

Si Soros finance ces groupuscules violents, comme il le fait outre-Atlantique, on pourrait se demander pourquoi il a publiquement soutenu Emmanuel Macron.Mais détruire les nations, par le refus du dialogue politique et par la violence, ne sert-il pas ses intérêts – à la fois financiers et idéologiques ?

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