La France vit une mascarade politique. Alors que notre nation s’enlise dans la crise, que la souveraineté s’effrite et que la confiance s’évapore, ce sont les ruines d’un Parti socialiste moribond et les débris des Républicains complices qui continuent de hanter le pouvoir. Deux formations discréditées, incapables d’assumer leurs échecs, mais toujours promptes à imposer leurs dogmes et à verrouiller le débat public.
En 2022, la candidate socialiste Anne Hidalgo n’a récolté qu’un pathétique 1,75 % des voix — un effondrement historique. Pourtant, malgré cette gifle populaire, les héritiers d’un socialisme bureaucratique continuent de se pavaner dans les institutions, comme si le pays ne les avait pas déjà condamnés. Le PS, jadis pilier du pouvoir, n’est plus qu’une carcasse idéologique, vidée de substance, réduite à survivre dans les couloirs du clientélisme local et les arrangements d’appareil.
Mais les socialistes ne sont pas seuls à trahir le pays!
Les Républicains, ces faux opposants, ont depuis longtemps renoncé à incarner la droite du courage. Ils ont troqué leurs convictions contre les miettes du système, préférant la mollesse parlementaire à la fidélité envers la France. LR et PS, deux visages d’un même renoncement, deux piliers du même déclin.
Le Parti socialiste a abandonné la France populaire, méprisé la classe ouvrière, sacrifié la nation au profit d’un universalisme abstrait, coupable et hors-sol. Pendant des décennies, il a gouverné contre le bon sens, contre la réalité, contre le peuple. Aujourd’hui, il récolte les fruits amers de son arrogance : désertion militante, effondrement électoral, effacement moral.
Quant aux Républicains, ils paient leur lâcheté.
Par peur de déplaire, ils ont suivi les socialistes sur tous les terrains : l’Europe sans frontières, la repentance sans fin, la soumission technocratique. Ce n’est plus une droite, c’est une annexe du centre mou, sans colonne vertébrale ni vision.
Le plus scandaleux, c’est qu’alors que ces deux partis sont réduits à des minorités dérisoires, ils continuent à influencer le pouvoir et les médias, comme si la volonté populaire n’avait aucune importance. Ils s’accrochent aux institutions comme des parasites à un corps qu’ils ont eux-mêmes affaibli.
La France mérite mieux que cette oligarchie des vaincus. Elle a besoin d’un sursaut, d’un retour au réel, d’un patriotisme lucide et courageux. Ni les socialistes ni les Républicains ne peuvent incarner ce renouveau : ils en sont l’antithèse vivante.
Le temps des appareils fossilisés est révolu. Place à la clarté, à la vérité, et à ceux qui ont encore le courage de défendre la nation sans honte ni calcul.











