Pour beaucoup d’experts, la dissuasion nucléaire russe a été attaquée par l’armée ukrainienne via ses vecteurs aériens. Une base militaire stratégique, clairement dédiée à la dissuasion nucléaire russe, aurait été également ciblée.
Ce sont des petits commandos agiles et infiltrés qui auraient mené ces opérations spéciales directement sur le sol russe.
Des chiffres indiquent qu’il y aurait au moins 12 bombardiers stratégiques russes détruits ou endommagés.
Ça reste dans tous les cas un échec humiliant pour Poutine. L’ours russe était déjà frustré par son endiguement atlantiste. Il est désormais blessé par la branche armée ukrainienne de l’OTAN.
Ces attaques pensées, soigneusement planifiées, coordonnées et ciblées poussent le régime russe dans ses derniers retranchements. Elles dépassent une ligne rouge et constituent une atteinte grave aux intérêts vitaux de la Russie. Dans la logique de la doctrine nucléaire Russe, elles rendent quasiment systématique une réponse militaire non conventionnelle par Poutine.
La « coalition des volontaires », Zelensky, les dirigeants européens et l’OTAN veulent en effet pousser le régime russe à la faute.
Les experts qui ont évoqué hier l’hypothèse d’un Pearl Harbor russe ont oublié tout ce qui s’est passé ensuite en termes de mobilisation de la nation américaine et d’utilisation de l’arme nucléaire à deux reprises au Japon, à Hiroshima puis à Nagasaky les 6 et 9 août août 1945.
Depuis le début de l’offensive russe, Zelensky veut étendre cette guerre avec une implication directe des occidentaux. Von der Leyen, Scholz, Merz, Johnson, Starmer et Macron ont joué son jeu en le soutenant sur le plan politique, financier et militaire, tout en tenant des discours anti russes très offensifs avec la menace de déploiement de troupes otano-européennes sur le sol ukrainien.
Le problème des élites occidentales, c’est leur aveuglement devant l’ours cerné, frustré et blessé, et leur incapacité à le comprendre.
La conséquence de ce « Pearl Harbor russe », c’est très certainement la continuité et l’intensification de cette guerre. Car, contrairement à ce que croient Zelensky, Von der Leyen, Macron, Starmer et Merz, l’ours russe ne va pas plier ni reculer même si Vladimir Poutine est coincé dans un dilemme : reconnaître que ses menaces nucléaires sont du bluff et que sa doctrine n’est pas applicable ou riposter par une frappe non conventionnelle.
Que va t’il décider ? Jusqu’où cette montée aux extrêmes, qui fait toujours reculer la paix, peut elle nous amener ? Va t-il répondre à cette humiliation et à cette atteinte habile mais dangereuse aux intérêts vitaux de la nation russe avec une arme nucléaire tactique ?
Contrairement à tous les experts de plateau, j’estime qu’il n’y a aucune raison de faire du triomphalisme et de ce réjouir de cet évident succès ukrainien, mais que nous devons plutôt craindre le pire.
Bonjour. De source sure, il n’y aurait que 5 bombardiers touchés. Voilà. Salutations. M.P.
Effectivement, je viens d’avoir une source qui parle même de 4 !
En tous cas , c ‘ est la preuve que Zélinsky cherche la grande guerre qui deviendra une guerre mondiale . Depuis le début, il ‘ a cessé de chercher à entrainer l ‘ Europe dans son bourbier . Macron et Ursula ont les premiers plongé dans ce piège . Ils sont fous , ils périront comme tout le monde . Si l ‘ Ukraine a lancé cette attaque , ce n ‘ est pas avec ses armes , mais celles de l ‘ Europe . Eh bien que Poutine riposte en visant Bruxelles , nous serons débarrassés de cet esclavage