Décès par infarctus du petit garçon israélien de 8 ans qui avait été utilisé pour la propagande vaccinale

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Crise cardiaque dans le bain, noyade, décès.

Ce n’est pas le genre de mort que l’on imagine pour garçon de 8 ans, et c’est pourtant le sort tragique qui a frappé le petit Yonatan Moshe Erlichman en septembre dernier. La petite victime a été emmenée aussitôt aux urgences à l’hôpital Hadassah-Mount-Scopus à Jérusalem ; il y est mort quelques jours plus tard, le 28 septembre.

Yonatan avait figuré il y a trois ans dans une vidéo de propagande du gouvernement israélien visant à encourager les parents à faire vacciner les jeunes enfants contre le covid-19.

Le vaccin covid en Israël a été donné à 20 % des enfants de 5 à 11 ans

Son petit visage angélique était devenu emblématique des campagnes officielles pour la vaccination, alors qu’Israël figurait dans le peloton de tête des pays qui avait imposé les mesures les plus draconiennes à cet égard.

La vidéo avait été diffusée juste avant le début de la première campagne de vaccination en décembre 2020. En définitive, en septembre 2022, seuls 20 % des enfants avaient été vaccinés dans l’Etat hébreu, témoignant de la marche arrière de nombreux parents qui n’avaient envisagé cette option qu’en raison des mesures de quarantaine et d’exclusion imposées par les autorités. Dès les mesures levées, une bonne proportion des parents qui avaient annoncé vouloir faire vacciner leurs enfants de 5 à 11 ans avaient renoncé.

Yonatan était le petit-fils d’un médecin respecté de la région.

Un garçon de huit ans qui meurt d’un infarctus, cela mérite une enquête !

Sa mort était totalement inattendue, rien ne laissant prévoir cet infarctus qui a eu pour résultat de faire glisser l’enfant dans l’eau ; il a été découvert inanimé, trop tard pour pouvoir le sauver.

On attend une enquête officielle sur la cause du décès… mais viendra-t-elle un jour ? Etait-il vacciné ? Et si oui, y avait-il un lien entre le vaccin et le décès ?

Il est connu en effet que le vaccin mRNA peut causer des problèmes cardiaques, notamment chez les plus jeunes, chez qui le très hypothétique bénéfice de la piqûre est négatif, vu que le covid ne les a jamais menacés.

Anne Dolhein pour Réinformation TV

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