Maintenant que la Justice est passée, sachant que Dahbia Benkired a encore 9 jours pour faire appel, il convient de revenir sur certains aspects de la couverture de cette terrible affaire qui a ému la France entière, ou presque…
Tout d’abord n’oublions jamais l’attitude de la gauche qui a immédiatement accusé la droite de « récupération » comme s’il fallait avoir une sorte de permis de s’indigner dont elle serait seule titulaire. Rappelons pour mémoire l’exploitation de la mort accidentelle du petit Aylan !
N’oublions jamais les salauds qui ont savamment tenté de faire dire à la famille de #Lola qu’elle ne souhaitait pas ce genre de soutiens, alors qu’il n’en a jamais rien été.
N’oublions pas non plus certaines plumes et autres langues de pute qui ont tiré à boulets rouges sur une artiste, @bloglaurel, qui avait fait un dessin stylisé de la petite #Lola pour lui rendre hommage, au point qu’elle a perdu depuis un tiers de ses revenus selon ses propres déclarations.
Pas de chance pour ces colporteurs de haine et désinformateurs en série, c’est précisément ce dessin qui a été choisi par la famille pour honorer la mémoire de Lola lors du procès, l’arborant sur leurs tee-shirts. Sachez également que Delphine Daviet a décidé de se le tatouer sur l’avant bras, et qu’elle l’a déclaré lors d’une interview sur une chaîne de télévision.
Lors du procès le fait que ce meurre aurait pu être évité si l’OQTF de la meurtrière avait été exécuté démontre de façon aveuglante la responsabilité voire même la culpabilité de le l’Etat , et les medias ont été très discrets sur ce point.
De même que l’aspect crime rituel, pourtant étayé par de nombreux indices et signes évidents du danger de l’importation de cultures archaïques, a quant à lui été totalement absent des débats. Voir notre article sur le sujet en octobre 2022 : https://burdigala-presse.fr/et-si-le-massacre-de-lola-etait-un-sacrifice-rituel
Enfin, n’oublions pas ceux qui ont brillé par leur absence et qui prétendent défendre le reste du temps les enfants victimes, mais qui dans cette affaire ont considéré que la personnalité et le profil de l’auteur nécessitait un silence pour « ne pas faire le jeu de l’extrême-droite », plaçant au second plan la détresse et le besoin de soutien d’une famille endeuillée.
La peine prononcée de « perpétuité incompressible » ne pourra en fait pas dépasser 30 ans, les mots sont totalement dévoyés de leur sens, et Dhabia Benkhired coûtera 100 millions d’euros à Nicolas qui paye ! Merci Badinter !
