RUE89, LA PRAVDA BORDELAISE !

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COMMENTAIRES : SUJET: Bordeaux 23 mars 2023. Palais Rohan Place Pey Berland. Rassemblement Manifestation contre le réforme des retraites. Mouvement Social. En soirée des manifestants mettent le feu au porche de la mairie . Une manifestation sauvage s’est attaquée à la mairie de Bordeaux vers 20 heures 30. Photo Thierry DAVID

Dans un article paru hier soir, Rue 89 accuse l’extrême droite d’être à l’origine de l’incendie du porche de la Mairie de Bordeaux. Accusation qui permet à l’organe officiel de l’extrême gauche bordelaise de reparler du procès fleuve de la fausse ratonnade de Saint Michel. Une bagarre (sans victime) survenue il y a seulement quelques mois et qui donne lieu, après une instruction express, à un procès grandiose sur 2 jours, abondamment relayé par la presse…

RUE89 confirme son statut de presse de caniveau. L’incendie du magnifique porche 18ème de la mairie de Bordeaux n’était pas encore éteint que déjà le journal gauchiste accusait l’extrême droite. Une sorte de remake de l’incendie du Reichstag. Cet empressement est très compréhensible. Ce torchon gauchiste est coutumier des fake-news. Ce qui surprend, c’est le grotesque de l’accusation. Comment des militants d’extrême droite auraient-ils pu se mêler à cette foule de gauchistes haineux sans être reconnus et chassés violemment? Parce que la rue de Bordeaux est tenue par les militants gauchistes. Et ils « ne font pas de quartier », comme ils ont l’habitude de le scander. Cette accusation grotesque et sans aucune crédibilité a un objectif. Il s’agit de d’une manœuvre pour ramener sur le devant de la scène le procès à grand spectacle qui a commencé hier, à Bordeaux, celui de 8 militants de la « Bastide Bordelaise » accusés de « ratonnade ».

LE PROCÈS D’UNE FAUSSE RATONNADE

Ce procès « Big-size » se tient quelques mois après les faits alors que généralement les affaires de violence sont, soit classées, soit attendent des années pour être jugées. Il a donné lieu à une double page dans Sud-Ouest, et a mobilisé tellement de journalistes qu’il n’y avait plus une place libre pour le public, dans la grande salle du Tribunal. Un traitement hors norme pour une triste bagarre nocturne dans le quartier Saint Michel de Bordeaux. Un quartier du centre historique de Bordeaux, aujourd’hui connu pour le trafic de drogues et les règlements de compte au couteau. Des militants de « Bordeaux nationaliste » sortaient d’un restaurant quand ils ont été témoins d’une agression crapuleuse (ce qui est courant). Ils ont mis en fuite les agresseurs, lesquels sont revenus avec des renforts. Normal, également. Et ces vaillants camarades ont rossés les allogènes. Une offense, un crime. C’est évident. Voilà ce qui est jugé aujourd’hui à Bordeaux. Le crime de ces jeunes, c’est de s’être défendus. C’est ce que les gauchistes appellent une ratonnade.

IL Y A DES FASCISTES A BORDEAUX

Le procès qui a commencé hier n’a qu’un objectif, faire croire qu’il y a des fascistes à Bordeaux. C’est essentiel pour justifier l’activité des antifas; la lutte contre le fascisme est un des piliers de la mythologie gauchiste. C’est une des mamelles du gauchisme, elle façonne leurs esprits faibles, permet de justifier la violence gauchiste et de faire oublier la vacuité de l’idéologie post-communiste. C’est aussi un des moyens de faire taire les protestations contre la violence issue de l’immigration imposée. Pendant que le public est occupé par le spectacle de la lutte contre le fascisme, pendant que les journalistes traitent dans leurs articles du danger imaginaire d’un retour des heures sombres, la presse ne s’occupe pas des viols, des vols, des assassinats fait par des criminels d’importation récente. Tout bénéfice pour la gauche immigrationniste.

PAS DE BOL!

C’est ballot, le jour du procès spectacle, les manifestants contre la réforme des retraites de Macron incendient le porche de la Mairie. Un incendie spectaculaire d’une porte du 18ème siècle. Toute l’attention est détournée par cette violence gauchiste.

Pas de bol, le procès de l’extrême droite ne fait pas la une des journaux, comme attendu. La violence de l’extrême droite passe à la trappe, mais ce sont les violences gauchistes qui éclatent au grand jour. La manipulation capote.

Les amis de Simon Barthelemy et Walid Salem se prennent la réalité en pleine poire. Un retour de bâton délicieux.

Mais le culot de ces journalistes est sans borne. Ils n’hésitent pas, ils osent tout. Ils ne sont pas à une manipulation prés.

L’incendie n’étaient pas encore éteint par les pompiers, que leur torchon publiait un  article qui accuse « l’extrême droite » d’être à l’origine de l’incendie. Signé par « la rédaction », un aveu sur la réelle nature de ce pseudo journal. Une tentative piteuse de ranimer une manipulation honteuse. 

Avec le spectacle de la violence qui se déchaîne en France, tout leur boulot de manipulation tombe à l’eau. Il leur reste l’espoir que les juges, eux, se laissent manipuler et qu’ils condamnent les jeunes militants… une tâche qui sera difficile tellement le dossier est vide.

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