Depuis sa création en 2015, l’association SOS Méditerranée multiplie sa présence à de nombreux événements : conférences, concerts, festivals, événements sportifs. Elle élargit désormais son champ d’action au milieu scolaire.
Après les universités — elle était le 1er février à Sciences Po Toulouse —, SOS Méditerranée se tourne vers les lycées. Le 1er février, l’association intervenait aussi au lycée Gabriel-Fauré, à Foix (Ariège).
Le lendemain, dans le Morbihan, sa venue au lycée Dupuy-de-Lôme, à Lorient, n’a pas tardé à susciter la polémique — l’intervention étant l’occasion pour les militants de sensibiliser les élèves sur leurs actions.
Le lendemain, La Cocarde Lycée s’insurgeait sur son compte Twitter, dénonçant « une heure de cours de géopolitique remplacée par une intervention obligatoire de SOS Méditerranée pour faire de la propagande pro-immigration ! ! ! Et le tout en écriture inclusive ! »
Nombreux sont ceux qui, à droite de l’échiquier politique, accusent l’association de favoriser l’immigration clandestine, sous couvert de sauvetages en mer et de bons sentiments.
Des actions de sauvetage qui sont par ailleurs largement subventionnées par l’État, certaines communes, conseils départementaux au frais des contribuables.
En 2021, SOS Méditerranée recevait plus d’un million d’euros de subventions et en novembre 2022, c’était la Ville de Paris qui lui accordait 100 000 euros et en 2022 le conseil départemental de la Gironde pour 50 000 euros.
L’analyse des comptes de ces associations immigrationnistes montre que leurs dirigeants ont des salaires substantiels, et que tout un petit monde vit très bien grâce à ce trafic d’êtres humains.
Bien entendu la presse se gardera de toute enquête sur le sujet et de plus participe à une propagande effrénée au nom des bons sentiments.
Et c’est ça le plus scandaleux !