Candace Owens met en lumière la toxicité du couple Macron

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Billet d’humeur :
On a pu lire beaucoup de commentaires au sujet des révélations de Candace Owens lors du premier épisode de mise en bouche .
Ils sont typiques des dérèglements majeurs de notre société nihiliste !
Où, quand une personne s’attaque à un sujet que tout le monde connaît, mais dont personne ne veut entendre parler…pour diverses raisons, “plus conditionnées les unes que les autres” , qui révèlent le mal profond d’une société qui a perdu les pédales…
Car enfin Candace Owen ne fait que synthétiser un dossier qui nous crève les yeux et pas que, par ailleurs séquencé et provocateur depuis la Pyramide du Louvre à plus récemment l’inauguration de la réouverture de Notre Dame de Paris en « grandes pompes » dont celles de Brigitte en 43 fillette, non sans avoir atteint son paroxysme pour celle satanique des jeux olympiques, reprenant les mêmes acteurs ou presque que ceux de la cage aux folles qui avaient déjà planté le décor à l’Elysee (et toujours pas que), lors de la première fête de la musique offerte à Manu par Bribri pour l’égayer au lendemain de son  élection jupitérienne qui risque fort de finir en Néron.
Nous avions tout vu, nous avons tout su, mais que par la « bande » et de façon décousue, voire banalisée par une Presse visiblement verrouillée et mouillée jusqu’aux « couilles » de beaucoup de copains qui passent le soir par derrière et à la « dérobée » au palais où les gorges chaudes sont les plus profondes mais réservées aux amis de tous sexes confondus en tous sens interdits…du public.
Et de fil en aiguille, une maille à l’endroit, une maille à l’envers, motus et bouche cousue sur la sodomie ambiante, nous avons assisté jusqu’à l’autocensure collective de la culpabilité en s’imposant de devoir respecter des prétendues différences acceptables devenues pourtant débridées de tous trous en tous lieux, dont l’exemple et voire la tyrannie nous ruisselaient dessus des dessous élitistes.
La bienséance s’est servie impunément des abus de notre bienveillance pour imposer de nouveaux codes totalement délirants, déviant jusqu’au totalitarisme du « cul par-dessus tête », au point que les commentaires que l’on peut lire depuis deux jours après l’introduction de Candace Owens, sont à côté de la plaque (et surtout de la chape de plomb imposée jusqu’alors ) ignorant le formidable danger de ce que des « diaboliques » font courir à un pays gouverné par des désaxés dont les « pratiques » répréhensibles sont de non moins formidables moyens de chantages, au-delà de tous autres risques de pressions liées à de multiples collusions qui mettent au cas d’espèce en présence des situations et des personnages très sombres aux passés sulfureux.
C’est quand même malheureux qu’il faille que ce soit la réélection de Trump l’intrépide qui participe à la divulgation de ce qui est une affaire d’état bien française et d’une extrême gravité, et que l’on puisse encore lire de ci-delà des remarques insensées et hors sujet.
À suivre toutefois avec attention parce que l’on comprend d’ores et déjà que l’affaire est aussi tordue que ses acteurs et découpée façon puzzle pour en éparpiller les morceaux.
En tous cas, Candace Owen, en plantant le décor sur l’écosystème macroniste et ses mœurs pédophiles voire même pédocriminelles permet de comprendre la toxicité du « couple » Macron !

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