NDLR : Nous diffusons avec plaisir cet article passionnant de notre ami Henri Dubost, paru sur Riposte Laïque qui fait la recension de tous les éléments à notre disposition au sujet de la pédocriminalité . Nous avons d’ailleurs, sur un sujet connexe, publié plusieurs articles au sujet de la propagande véhiculée par des organes publics visant à sexualiser les enfants dés l’école maternelle, et donc à faciliter la pédophilie :
https://burdigala-presse.fr/onu-vers-une-legalisation-de-la-pedophilie
https://burdigala-presse.fr/protegeons-nos-enfants-contre-les-predateurs-de-tous-poil
Alors que le film « Sound of Freedom » fait un tabac aux Etats-Unis, il ne bénéficie d’aucune diffusion en France :
Quant aux rares recensions qu’en fait la grosse presse, elles sont toutes négatives.
Notre ami Louis Samir Oulahbib analysait les raisons pour lesquelles le film inquiète nos « élites », qui ont chargé leurs journaleux d’en faire une démolition en règle, l’argument principal des chiens de garde du régime étant qu’il s’agirait d’une énième élucubration complotiste. Le mot qui tue est lâché. Traiter des réseaux pédocriminels est devenu un sujet d’« extrême droite »…
En octobre 2020, l’écrivain, géopolitologue et expert financier Morad El Hattab donnait cette troublante interview sur les réseaux pédocriminels qui gravitent, selon lui, autour de Brigitte Macron :
Le sujet semble ne pas s’intégrer au monde de la finance et de la géopolitique qui est celui de M. El Hattab ? Voire… Les réseaux pédocriminels couvrent la totalité de la planète, pénètrent les sphères les plus élevées des « élites » (gouvernements, institutions internationales…) et génèrent pour les entités mafieuses des profits largement supérieurs à ceux de la prostitution adulte. Une vidéo sur le meurtre satanique d’un enfant peut se vendre jusqu’à un million d’euros. L’enquête menée pendant cinq ans par Morad El Hattab révèle que la pédocriminalité est une réalité systémique dans notre pays dans laquelle est compromise une certaine faune politique française, jusqu’au sommet de l’Etat. « Ce n’est pas pour rien que notre pays est surnommé “pédoland” » ironise M. El Hattab.
M. El Hattab souligne entre autres la présence étonnante de Mimi Marchand dans l’entourage de Mme Macron :
Outre de nombreuses affaires particulièrement sulfureuses, Mimi Marchand est intervenue, rappelle M. El Hattab « dans une affaire pédocriminelle qui touchait le fils d’un milliardaire français, déjà interpellé par la police à deux reprises, et qui détenait tout un fichier d’images pédopornographiques ».
Grâce aux réseaux d’influence de Mimi Marchand, les journalistes n’ont jamais eu connaissance de la décision judiciaire concernant cette affaire : la décision ne fut pas notifiée auprès de la presse judiciaire et ne fit l’objet d’aucune dépêche AFP. Seul, dans les médias, Pascal Praud a eu le courage d’interviewer l’un des journalistes qui ont enquêté sur l’affaire.
El Hattab évoque également la figure interlope de Jean-Marc Borello, et sa proximité avec le couple Macron. En décembre 2017, Borello intègre le bureau exécutif de La République en marche. Il est président de la commission nationale d’investiture du parti pour les élections européennes de 2019 et membre de la commission nationale d’investiture du parti pour les élections municipales de 2020. En septembre 2020, il succède à Pierre Person comme délégué général adjoint du parti. En décembre 2018, Le Monde et Libération rendent compte d’accusations à l’encontre de ce pilier de la macronie, de harcèlement et d’agressions sexuelles.
En 2006, Borello a été un des témoins de la défense de Robert Megel, à l’époque directeur d’une structure nommée « Les Tournelles ». A l’issue de son procès, Megel était condamné à 12 ans de prison ferme pour « viol et attouchements sur mineurs ».
El Hattab rappelle enfin les liens étroits d’amitié entre le couple Macron et le pédophile notoire Daniel Cohn-Bendit :
et souligne que c’est sous la première mandature Macron que la pédophilie est passée du statut de crime à celui de simple délit… « Peut-être s’agit-il de désengorger les assises » raille M. El Hattab…
Rappelons que c’est à l’âge de 15 ans qu’Emmanuel Macron devint l’amant de Brigitte Trogneux, son aînée de 24 ans, et qui était à l’époque son professeur de théâtre à la prestigieuse institution amiénoise « La Providence » tenue par les Jésuites (et où un certain François Ruffin fut également élève…).
Quinze ans, c’est du moins l’âge que retient la vérité officielle. Des témoins de l’époque parlent plutôt de 14 ans, ce qui constituerait alors un viol sur mineur aux termes de la loi, crime puni de 15 ans de réclusion.
M. El Hattab mentionne une interview de Jean Pierre Mocky :
réalisée en 2006, dans laquelle le réalisateur parle de son film Les ballets écarlates, sorti en 2004. Jean-Pierre Mocky y dénonce l’omerta dont son film a fait l’objet, ainsi que le silence de la justice et des médias face aux agissements des réseaux pédocriminels.
Dans son interview, Morad El Hattab évoque à de nombreuses reprises l’affaire Epstein, du nom de ce milliardaire américano-israélien, propriétaire d’une île, Lolita Island (le prénom « Lolita » fait référence au livre éponyme de Vladimir Nabokov) où se déroulaient de véritables orgies avec des jeunes filles mineures.
Le 10 août 2019, dans sa cellule du Manhattan correctional center de New York, Epstein est retrouvé « suicidé » dans des conditions qui défient l’imagination.
Epstein possédait également un appartement parisien. L’affaire a rapidement été étouffée par le showbiz et la caste politico-médiatique français. Elle a d’ailleurs définitivement été enterrée, aussi bien du côté américain après l’élection de Joe Biden, que du côté français.
L’hebdomadaire Valeurs Actuelles, rappelle M. El Hattab, a été le seul organe de presse à révéler que lorsque le FBI américain a demandé à la justice française d’enquêter sur les réseaux pédocriminels liés, sur notre territoire, à l’affaire Epstein, il s’est vu opposer une fin de non-recevoir de la part du pouvoir macronien…
Morad El Hattab qualifie le « coup de filet » à l’encontre d’une soixantaine de pédophiles qui a eu lieu début octobre 2020 dans l’Hérault de « simple contre-feu » : la justice va juger des « petits poissons » – sans doute de simples « rabatteurs » – alors que les véritables prédateurs pédophiles qui gravitent au sommet du pouvoir ne seront quant à eux jamais inquiétés.
Le nom de l’ancien président démocrate Bill Clinton revient régulièrement dans l’affaire Epstein. « Bill » se serait ainsi rendu 27 fois sur Lolita Island, à bord du jet privé du milliardaire, surnommé Lolita Express
Le couple Clinton, à la tête de la puissante Fondation qui porte leur nom, possède évidemment de solides dossiers sur un certain nombre d’hommes politiques américains et français. De quoi tempérer les esprits trop indépendants.
D’autre part, les nombreuses morts mystérieuses dans l’entourage des Clinton sont de nature à faire taire définitivement les témoins gênants…
« Trump bashing » oblige de la part des médias de l’oligarchie, le nom du 45ème président des Etats-Unis est abondamment cité dans l’affaire Epstein :
C’est oublier que Trump a définitivement rompu avec Epstein dès 2008, lors de la révélation de la première affaire de pédophilie dans laquelle a trempé ce dernier, ce qui n’est pas le cas de Bill Clinton qui a jusqu’au bout conservé des liens amicaux (sinon d’affaires…) avec le pédocriminel.
C’est également oublier que lors des quatre années de sa mandature à la Maison Blanche, Trump a fait arrêter plus de 3 000 pédocriminels américains, comme le rappelle M. El Hattab (vers 28:15 de la première vidéo). Sous Clinton et Obama en revanche, les pédophiles pouvaient dormir tranquilles…
De son côté, à de nombreuses reprises, le réalisateur américain Mel Gibson a dénoncé Hollywood comme un repère de pédosatanistes. On comprend mieux dès lors la haine viscérale manifestée par l’industrie américaine de l’image – ainsi que par la quasi-totalité des médias outre-Atlantique – à l’encontre du président Trump… Par ailleurs, la vidéo d’Hervé Ryssen, « Les Juifs, l’inceste et l’hystérie » est encore visible sur la plateforme Odyssee.
On se rappelle que la nomination d’Éric Dupond-Moretti comme Garde des Sceaux le 6 juillet 2020 constitua une énorme surprise dans le monde politique. Le 15 avril 2018, « Dupond » donnait une interview sur LCI dans laquelle il assurait qu’en aucun cas il n’accepterait le portefeuille de la justice :
Question de la journaliste : « Si on vous proposait un poste de ministre de la Justice, vous l’accepteriez ?».
Éric Dupond-Moretti : « Non ! Sûr. Vous voulez que je vous le signe ? [rires]. D’abord, personne ne me le proposera : ce serait un bordel… Personne n’aura jamais l’idée sotte, totalement saugrenue, incongrue, invraisemblable, de me proposer cela. Et moi, franchement, je ne l’accepterai jamais un truc pareil ! ».
Une surprise pour le monde politique, et une énorme provocation du gouvernement à l’encontre de la magistrature : L’Union syndicale des magistrats y a même vu une « déclaration de guerre », rien de moins. La raison : les méthodes quasi-mafieuses de l’ancien avocat pénaliste, notamment dans l’affaire des pédophiles d’Outreau – nous y reviendrons évidemment dans la suite de cet article – n’ont pas laissé que d’excellents souvenirs à nos magistrats…
Une exception très française : le 16 juillet 2021, « Dupond » est mis en examen pour « prise illégale d’intérêts » par la Cour de justice de la République. Une affaire que nous évoquions dans cet article de janvier 2021. C’est la première fois dans l’histoire de la République qu’un garde des Sceaux en exercice se retrouve sous ce statut. Le 7 juillet 2021, Mediapart révèle par ailleurs qu’Éric Dupond-Moretti a « omis » de déclarer à la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP) plus de 300 000 euros de revenus. Un détail. Fort heureusement, le ministre peut compter sur ses relations dans l’administration fiscale qui « a reconnu la bonne foi d’Éric Dupond-Moretti et lui a accordé le bénéfice du droit à l’erreur ». La mansuétude dont bénéficie « Dupond » pourrait peut-être s’expliquer par la clémence qu’il a su inspirer à notre système judiciaire envers les réseaux pédophiles français lors d’un des procès de l’affaire d’Outreau.
Dans cet article :
la psychologue clinicienne et experte judiciaire Marie-Christine Grison, par ailleurs auteur de Outreau, la vérité abusée, dénonce l’ «Omerta» dont ont bénéficié les pédophiles d’Outreau lors des procès en série qui ont jalonné cette affaire :
« [J’attire l’attention de] l’internaute vers une autre réalité d’Outreau, celle de la vérité judiciaire des enfants qui a subi l’omerta des médias : 12 enfants ont été reconnus victimes de viols, agressions sexuelles, corruption de mineurs et proxénétisme, conformément à l’avis des 7 experts qui les ont examinés. La réinformation est indispensable, tout simplement parce que les conséquences de cette omerta sont catastrophiques à de nombreux niveaux et en particulier en matière de protection de l’enfance ».
Et Marie-Christine Grison de poursuivre :
« La référence “Outreau” a ouvert un boulevard aux pédophiles car la panique qu’elle provoque ne permet plus la prise en compte de la parole de l’enfant victime de leurs sévices. »
La puissance d’intimidation du lobby LGBT, lobby relayé par une presse aux ordres des « minorités », n’est sans doute pas un vain mot. Cette puissance pourrait expliquer l’incroyable mansuétude des tribunaux à l’égard des pédophiles. C’est ainsi que le 23 février 2012, le tribunal correctionnel de Boulogne-sur-Mer a condamné Franck et Sandrine Lavier, deux acquittés d’Outreau, respectivement à dix et huit mois de prison avec sursis pour violences sur deux de leurs enfants. En revanche, alors que le couple obligeait leurs enfants à regarder des vidéos pornographiques, le tribunal les a relaxés du chef de corruption de mineurs, estimant que, « bien que ces faits soient moralement répréhensibles, la volonté de corrompre les enfants n'[était] pas prouvée »…
On connaît la manière dont l’ « Ogre de Kaltenborn » – surnom gagné par «Dupond» lors du procès d’Outreau de 2004, en référence au roman crypto-pédophile de Michel Tournier, «Le roi des aulnes» – a terrorisé les enfants lors de ce procès et a invalidé leur parole en invoquant systématiquement le « non-discernement intellectuel des mineurs ». « Il dégageait une telle force » avouera benoîtement l’accusée qu’il réussira à faire relaxer.
« [Dupond-Moretti] ne manifeste pas plus de respect pour la personne que pour la vérité, ce qui est grave pour l’auxiliaire de justice qu’il se doit d’être, en tant qu’avocat », insiste pour sa part Marie-Christine Grison.
Sur son blog, le magistrat Philippe Bilger a pu écrire, au sujet des méthodes de « Maître Dupond » :
« Aujourd’hui une victime d’Outreau, [plusieurs années] plus tard, est encore parfois réveillée, saisie d’angoisse et de terreur, se voyant encore écrasée par l’élocution accusatrice et les grands gestes du Maître. Le visage grimaçant et vociférant du Maître, est l’image que cette victime peut décrire à son réveil».
Quant à Marlène Schiappa, son maintien dans le gouvernement malgré l’énorme scandale du « Fonds Marianne » ne laisse d’étonner. En sait-elle trop pour être débarquée ?