Il n’y a pas si longtemps – cela remonte au 7 septembre dernier –, je relatais l’affaire des programmes d’éducation sexuelle que la Belgique francophone introduisait à l’école, à partir de la rentrée scolaire 2023, pour tous les élèves dès 5 ans. Le vote du décret EVRAS (programme d’Éducation à la Vie Relationnelle, Affective et Sexuelle) avait jeté dans la rue des milliers de parent scandalisés.
La France qui n’est pas en reste en matière de « wokisme » et de propagande LGBT a, elle aussi, introduit l’éducation à la sexualité ainsi que le délire de la de Théorie du genre dans ses programmes scolaires et ce depuis longtemps.
Il suffit d’aller visiter le site éduscol du ministère de l’Éducation nationale pour en mesurer l’étendue. Sous la rubrique « Je souhaite comprendre les enjeux de l’éducation à la sexualité », il est expliqué qu’il s’agit d’« Une des missions de l’École » – n’ayons pas peur des mots ! – pour « le développement chez l’élève de comportements responsables, dans le cadre de la coopération avec les parents. Elle a un rôle spécifique dans la construction individuelle et sociale des enfants et des adolescents et à la préparation à leur future vie d’adultes ».
C’est sûr, il sera plus utile aux élèves de savoir copuler dans toutes les positions que de savoir lire, écrire et compter !
La mystification se poursuit par : « Son action est complémentaire du rôle premier joué par les familles ». Encore heureux sauf que, dans la pratique, les familles ne sont jamais consultées ni associées à cette entreprise douteuse dans les établissements scolaires.
Non seulement cette soi-disant « éducation » se pratique à leur insu mais elle introduit les pires idéologies sur le sujet et cède à toutes les déviances.
Armel Joubert des Ouches a réalisé un reportage que tout parent soucieux de préserver l’intégrité psychique de son enfant devrait regarder attentivement. Ce qu’il rapporte fait dresser les cheveux sur la tête.
Il est crucial pour l’avenir de nos écoliers que les apprentissages fondamentaux retrouvent leur place en milieu scolaire et que les manipulations des esprits y soient proscrites.
Ce n’est pas à l’école de s’occuper de sexualité surtout comme elle le fait
Tous les parents devraient se montrer extrêmement vigilants à l’égard de ce qui se passe dans la classe de leur enfant en terme d’éducation à la sexualité et dénoncer haut et fort les dérives constatées.
Charles ANDRÉ
Nice Provence Infos
« L’important n’est pas de convaincre mais de donner à réfléchir. »