Attentat du quai de Grenelle : on nous refait le coup du déséquilibré ?

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Dans mon ouvrage, « l’islam dévoilé » paru à la Nouvelle Librairie, sous l’égide de l’Institut Iliade, j’ai développé la thèse de l’islam générateur de troubles psychiques, en m’appuyant sur mon expérience et sur les travaux de personnes compétentes en la matière.

Je me permets donc de vous soumettre ce travail de réflexion qui permet de sortir des débats stériles sur la santé mentale individuelle de ces assassins pour envisager la racine du mal : l’islam lui-même.

Il me semble en effet qu’on ne pourra en sortir qu’en démontrant la toxicité de cette idéologie mortifère, afin qu’elle perde son statut de religion qui la met à l’abri de toute critique dans le cadre de la laïcité.

Je considère en effet que l’islam n’est pas une religion, mais une idéologie sans aucune transcendance.

 

Lors de chaque attentat djihadiste les medias parlent quasi systématiquement  de personnes dérangées psychiquement, déséquilibrées. Même si cette dénomination est instrumentalisée de façon évidente comme une excuse pour minorer les faits et exonérer les coupables, il semble possible de lui donner une consistance réelle, qui  appelle une question politiquement incorrecte : l’islam rendrait-il fou ?  Ou pour le moins, y a-t-il un rapport entre islam et violence ?

En 2010, le ministère de l’intérieur allemand commandait un rapport à l’Institut de recherche sur la criminalité de Basse Saxe qui concluait que plus les musulmans sont pieux, plus ils sont violents.

Wafa Sultan, psychiatre d’origine syrienne, ex musulmane répond « oui » de façon argumentée dans son ouvrage « L’islam fabrique des déséquilibrés ? ». Les journalistes qualifient systématiquement de déséquilibrés nombre d’agresseurs musulmans qui, sans raison apparente, blessent ou tuent des malheureux qui ont eu le tort de croiser leur chemin au mauvais moment. Dans une société où règne la tyrannie du « Surtout pas d’amalgame » Wafa Sultan ose expliquer ces actes par l’oppression mentale qu’exerce l’islam sur ses disciples, dès leur plus tendre enfance. Elle raconte notamment que lorsqu’elle était enfant, en Syrie, si on lui proposait de choisir entre des bonbons et tuer des juifs, elle optait pour la deuxième proposition et décrit comment les règles islamiques ont enfermé dans une prison mentale, depuis 1400 ans, les disciples d’Allah, les empêchant, par un devoir de soumission à des textes sacrés, de créer, d’inventer… et d’être heureux. Elle définit l’islam comme une « machine à laver le cerveau » et décortique les nombreuses causes de l’oppression des femmes musulmanes. Elle explique que cette particularité est en grande partie responsable de la pauvreté, intellectuelle, morale et matérielle des sociétés islamiques. Son verdict est clair : « musulmans, révoltez-vous, émancipez-vous de l’islam ».                                                                                                                            Pour elle  «  l’islam est une prison  déjà incorporée (ou enracinée) à l’intérieur de l’esprit du musulman. Elle est hermétiquement fermée par une muraille épaisse en béton armé comme un « blockhaus ». Elle est entourée par des gardiens criminels qui ne lésinent pas de décapiter tout individu qui tente d’en échapper. Le musulman qui naît et passe toute sa vie à l’intérieur de cette prison, ne pourra pas comprendre la nature de la vie à l’extérieur. Par conséquent, il s’y accroche, car il ne connaît rien d’autre.  Cependant, l’ère de l’internet a tout bouleversé. Elle a ouvert un trou dans les murs de cette prison. Ce trou n’a cessé de s’élargir au cours des deux dernières décennies. Tout musulman est aujourd’hui en mesure de savoir comment l’être humain vit en dehors de sa prison islamique. Certes, le processus de changement a commencé, mais à un rythme encore lent pour les raisons suivantes :                                                                                                                                 Premièrement, parce que la mentalité qui s’est construite et consolidée durant quatorze siècles ne peut être rapidement modifiée ni facilement réhabilitée. C’est un processus qui nécessite beaucoup d’efforts et de temps.                                                               Deuxièmement, parce qu’en face, il y a des campagnes intensives menées par des groupes qui ont un grand intérêt à maintenir à tout prix le statu quo, afin de conserver leurs intérêts, leurs privilèges, leur fonds de commerce. Ils constituent l’obstacle majeur sur la voie du changement. Les mouvements libéraux et gauchistes en Occident en font partie. Au prétexte de respecter la liberté de croyance, ils mettent des bâtons dans les roues. »

   Nicolas Sennels est un psychologue danois qui a longuement étudié le profil psychologique des jeunes délinquants dans les prisons danoises. Là-bas, comme en France, il a constaté une surreprésentation des musulmans avec plus de 70%  des incarcérés. Il décrit comment la culture musulmane exalte la colère et la violence symboles de force, et en même temps provoque une forte frustration lors de l’immersion dans nos sociétés basées sur d’autres valeurs, qu’ils méprisent et dont ils contestent le bien fondé. Il précise que ce ne sont pas les problèmes sociaux qui engendrent ces troubles du comportement, mais à l’inverse que cette conduite entraine les problèmes sociaux par inadaptation. Ce n’est donc pas par racisme systémique que les personnes issues de cette communauté ont des situations sociales difficiles. Il conclut son ouvrage, « Among criminals muslims » Free press society 2009 : «on a vraiment besoin d’une discussion sérieuse sur les liens entre la culture musulmane et les comportements criminels et anti sociaux »

Le Professeur Maurice Berger, pédopsychiatre spécialisé sur les adolescents ultra violents, issus essentiellement de familles musulmanes, décrit le processus essentiel de genèse de ce comportement : les violences intrafamiliales dès la petite enfance. C’est effectivement souvent l’ambiance dans les familles musulmanes, la mère étant le plus souvent l’objet d’un traitement violent et humiliant, et, paradoxalement, elle élève ses garçons dans un complexe de supériorité et de toute puissance, contribuant ainsi à la perpétuation de l’oppression.

Fethi Benslama est un psychanalyste d’origine tunisienne. Dans son ouvrage « la psychanalyse à  l’épreuve de l’islam », il met au grand jour les refoulements constitutifs de l’islam. Il y parle d’une « psychopathologie de masse » et d’une tradition « d’interdiction de penser ». Pour lui, «  la religion ne fait pas son retour car elle ne s’était jamais  éloignée », « l’islam, tel un dormeur artificiellement mis en sommeil, se réveille en sursaut et dévisage le monde dans un état somnambulique ». D’où la volonté farouche d’un retour aux origines de l’islam, dans la matrice tutélaire protectrice, et «  d’une volonté de vengeance effrayante des temps présents ». La misère sociale et psychique est rapportée à un relâchement à l’égard des origines. « La rétraction du devenir ne serait-elle pas le degré zéro du messianisme, voire même son contraire ». Pour cet auteur, « l’énonciation coranique comporte d’emblée une guerre interne au texte, un conflit violent entre parole de vérité et dire de fiction»

Les islamologues Dominique et Marie Thérèse Urvoy  ont analysé les procédés rythmiques, structurels (répétition, amplification) et subliminaux mis en œuvre (« Action psychologique dans le coran » Le Cerf 2007). Le conditionnement par emprise orale est un procédé bien connu pour provoquer une auto-intoxication qui emprisonne dans une pensée unique déprise du réel.              D’où le raisonnement circulaire, typique de l’islam.

Claude Levi Strauss, dans « Tristes tropiques », en 1970, confirme ces analyses : «   Tout l’Islam semble être une méthode pour développer dans l’esprit des croyants des conflits insurmontables, quitte à les sauver par la suite en leur proposant des solutions d’une très grande (mais trop grande) simplicité. En fait, le contact des non musulmans les angoisse»                                                                                                                  Les expériences de débat avec des musulmans sont la confirmation de cette attitude : nous avons coutume d’aller d’un point A à un point B et suivants de façon logique et linéaire, le raisonnement permettant de solder les points précédents mais l’interlocuteur musulman ne suit pas et revient sans cesse au point de départ. C’est le raisonnement circulaire. La psychiatrie en fait un symptôme de la schizophrénie, psychopathie dans laquelle le sujet interprète la moindre irruption du réel  venant interrompre la circularité du raisonnement comme une agression et réagit par la violence.  Il est facile d’en faire la constatation  lors de discussions avec des mahométans, bien polis, voire obséquieux au départ et puis cédant à la colère et à la violence ensuite, lorsqu’on connait bien les textes et mécanismes islamiques ce qui permet de les amener dans une impasse du raisonnement logique.

Un autre facteur de frustration est la tension interne provoquée par le complexe de supériorité lié à l’appartenance à l’islam (sourate 3 verset 110 : vous êtes la meilleure des communautés qu’Allah a créé sur terre, vous « ordonnez » le bien et vous « interdisez » le mal ) et la constatation  l’évidence  du retard du monde musulman dans tous les domaines. L’occident est accusé de cet état de fait et de tous les maux et doit être détruit par la guerre sainte, toujours la victimisation, et il faut revenir à la chaude matrice originelle de l’islam, cet âge d’or fantasmé des origines.

De même, l’attraction-répulsion créée par les nombreux interdits coraniques crée une tension psychologique, des conflits internes insurmontables,  une frustration intense caractéristique de la schizophrénie. C’est particulièrement net pour les relations hommes-femmes !

Enfin l’univers du musulman, entouré d’ennemis qui attaquent l’islam, ce délire obsidional de la cité assiégée par les impurs peut entrainer à l’évidence un délire paranoïde.

On peut donc en conclure que oui ! L’islam a des conséquences psychiques : schizophrénie, paranoïa, frustration, violence                                            

 

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