NDLR : Nous reproduisons ci dessous une excellente tribune d’Alain Falento qui pose une excellente question : où est passé le trou dans la couche d’Ozone qui agitait les gazettes dans les années 80 ? En effet les escrologistes n’en parlent plus, de même des pluies acides, ou même une glaciation annoncée pour ces années là . Leur catastrophisme qui consiste à entretenir la peur sur tous les sujets est insupportable et il doit être dénoncé sans relâche.
Lorsque j’étais enfant, dans les années 80, les médias commencèrent à nous terroriser avec la disparition de la couche d’ozone.
Apparemment, cette couche d’ozone (formule chimique O3) qui se trouve dans la haute atmosphère nous protège des rayons ultraviolets.
Pendant des décennies, les gens de ma génération ont dû subir les leçons de morale des écologistes et des pseudo-scientifiques qui nous expliquaient que cette couche d’ozone était trouée au-dessus de l’Antarctique, et que ce trou ne cessait de s’agrandir.
Le fameux GIEC fut d’ailleurs créé en 1987 afin d’étudier ce phénomène.
Si rien n’était fait dans les plus bref délais, nous allions tous finir grillés ou terrassés par le cancer de la peau.
Les Greta Thunberg, les climatologues et les journalistes de l’époque se succédaient à la télévision pour nous culpabiliser ; si nous n’arrêtions pas de nous mettre du spray dans les cheveux ou d’utiliser des réfrigérateurs (qui contiennent des gaz CFC), la vie allait tout simplement disparaître de la planète Terre.
Puis soudain, il y a une vingtaine d’années, plus rien. Tous les médias cessèrent subitement de nous parler de la couche d’ozone. Le problème semblait s’être résolu de lui-même, comme par enchantement, remplacé par une nouvelle lubie : le réchauffement climatique.
Ironie du sort, il apparaît que cette couche d’ozone s’est refait une santé depuis 2014, et que c’est paradoxalement grâce au réchauffement climatique !
En effet, les gaz à effet de serre refroidiraient la stratosphère, ce qui ralentirait les réactions chimiques qui détruisent l’ozone.
Essayons de réfléchir sérieusement ; nous savons que :
« Réchauffement climatique » implique « Amélioration de la couche d’ozone ».
Par conséquent, en passant à la contraposée, nous obtenons :
« Détérioration ou stabilisation de la couche d’ozone » implique « refroidissement ou stabilisation climatique ».
La logique propositionnelle est implacable, elle n’a jamais été remise en cause depuis plus de 2000 ans.
Il suffit donc de réintroduire l’usage des gaz CFC, de faire tourner les réfrigérateurs et les climatisations à fond les manettes, de forcer tout le monde à se mettre de la laque dans les cheveux pour résoudre définitivement le problème du réchauffement climatique.
CQFD.
Greta Thunberg peut donc maintenant aller passer son BEPC tranquillement.
Alain Falento