REMARQUES MÊLÉES À PROPOS DU CORONA-CIRCUS
LA TRIBUNE LIBRE DE TAMBOURINE MAN
« Mais si nous cédons à la peur, cessons alors aussi de récriminer contre ceux qui ne nous laissent pas respirer librement : c’est nous-mêmes qui nous en empêchons ! Courbons l’échine, attendons encore, et nos camarades biologistes ne tarderont pas à trouver le moyen de lire dans nos pensées et de modifier nos gènes » (Soljenitsyne, 12 février 1974).
« Nous avons modifié si radicalement notre milieu que nous devons nous modifier nous-mêmes pour vivre à l’échelle de ce nouvel environnement. Nous ne pourrions plus vivre dans le monde passé. » (N. Wiener, Cybernétique et société, 1950)
« Chemin faisant, il vit le col du Chien pelé.
»Qu’est-cela ? Lui dit-il. – Rien. – Quoi rien ? – Peu de choses.
– Mais encor ? – Le collier dont je suis attaché
De ce que vous voyez est peut-être la cause.
– Attaché dit le Loup ; vous ne courez donc pas
Où vous voulez ? – Pas toujours, mais qu’importe ?
– Il importe si bien, que de tous vos repas
Je ne veux en aucune sorte,
Et ne voudrais pas même à ce prix un trésor. »
Cela dit, Maître Loup s’enfuit, et court encor. » (Jean de La Fontaine, « Le Loup et le Chien »)
L’étau de la révolution communiste-capitaliste-numérique-covidiste et de la religion connexionniste se resserre implacablement sur nous, l’offensive s’accélère.
Les forces adverses sont énormes, monstrueuses, les nôtres sont dérisoires, les enjeux sont énormes, rien moins que la création d’une nouvelle humanité transhumaniste hors-nature, artificialisée, industrialisée, adaptée à ce nouveau monde techno-artificiel. Nous nous affrontons à la modernité d’un vaste réseau mêlant crime organisé, délinquance, haute banque et spéculation financière, industrie du divertissement, de l’art contemporain, de la mode, du sport, agences de renseignement et de publicité, industries des nouvelles technologies de l’information et de la télécommunication, réseaux pédocriminels et proxénètes, entreprises géantes, celles de la pharmacie notamment (la bonne santé de l’Humanité serait pour Big Pharma une catastrophe). Parmi nos principaux ennemis, n’oublions pas d’abord l’écrasante majorité de la population, qui se manifeste par son ignorance, sa lâcheté, sa fourberie, sa terrible soumission et son terrifiant grégarisme, et nous-mêmes qui ne nous révoltons pas assez contre l’Innommable… Encore une fois nous nous retrouvons aux plus beaux jours de l’horreur de l’Union sacrée (dont l’actuel président de la Gueuse se réclame ouvertement), quand les foules déchaînées et hideuses se précipitèrent dans la rue en août 1914 pour crier leur haine de l’Allemagne et des Allemands, pour traquer ceux qui refusaient de hurler avec les loups.
L’humanité est, anthropologiquement et ontologiquement, semble-t-il, un troupeau qui suit le mâle dominant surtout sans se poser trop de questions (les technologies modernes de l’information et de la communication accentuent évidemment cette composante) et demande une prise en charge totale, elle est prête à se jeter sur les réfractaires que lui auront indiqués les médiats. Les forces véritablement démoniaques citées plus haut s’appuient également sur des pulsions qui datent de la nuit des temps, notamment la fascination pour la nouveauté (la néophilie), pour la technique, la volonté de créer un homme-machine, de créer une vie et une nature artificielles, les anciens Grecs qui la connaissaient fort bien l’avaient nommée hubris, la démesure (la Bible l’avait figurée dans la Tour de Babel). Ne négligeons pas non plus la recherche de la sécurité (ne plus avoir faim, ni froid, ne plus être malade et même : ne plus mourir), sécurité qui se paie, comme l’avait vu La Fontaine, du prix de la liberté.
Les morts dus aux divers vaccins s’accumulent dans le silence assourdissants des médiats démocratiques, ils sont ou niés, ou passés sous silence par les médiats et les propres familles des défunts (sur lesquelles on fait grossièrement pression), ou attribués au prétendu coronavirus, à sa variante delta (!!) qui n’est que l’autre nom de l’injection génique. L’euthanasie se poursuit tranquillement dans les maisons de retraites et les E.H.P.A.D. à coup de Midazolam ou autre Rivotril, car s’il y a une attaque en force contre les enfants (on parle maintenant de faire subir aux enfants de 2 ans et plus l’injection létale, elle-même donnée aux femmes enceintes !.. ; mais rassurons-nous il n’est pas besoin de passeport (anti)sanitaire pour avorter), un massacre des innocents, il s’agit également de se débarrasser des personnes âgées qui sont une charge pour la société (selon les vœux du prophète de l’humanité pucée et de l’euthanasie, du »suicide assisté », Jacques Attali, parmi tant d’autres). L’objectif semble être de tuer les gens âgés, tuer ou rendre stériles ou invalides, les autres, avant tout les enfants et adolescents.
L’attaque aux enfants, nous l’avons déjà remarqué, est multidirectionnelle, ainsi dès 1985, un plan avait été lancé par l’État mondialiste-globaliste (anti)français, « Informatique pour tous », précurseur du masque pour tous et de l’injection pour tous, mais ce fut réellement en 2009 que l’École bascula dans l’ère du numérique avec la politique de la »tablette » pour tous, avec la connexion au haut débit, les tableaux interactifs, etc. (tout cela ne fit que renforcer la soumission de la jeunesse), mais les cadres de la Nouvelle Économie de la Silicon Valey envoient leurs enfants, semble-t-il, dans des écoles où il n’y a pas d’écrans (ceux-là sont réservés à la plèbe abrutie et lobotomisée qu’ils méprisent, craignent et haïssent en même temps). Et les grands-prêtres du laïcisme numérique et du vaccinalisme pasteurien fulminent contre l’obscurantisme médiéval et catholique ou le despotisme national-socialiste ou nord-coréen !!
Le port du masque chez les enfants et adolescents crée chaos, dépression, agressivité, obésité, une exacerbation de l’accès aux écrans et aux aliments industriels empoisonnés, et de nombreuses tentatives de suicide.
Mais tous les »philanthropes », à la Jeffrey Epstein, Gates ou Clinton – femme et mari – ou autres, ne parlent pas dans ce cas de maltraitance envers les enfants. Les psychologues constatent depuis un an une recrudescence d’anxiété, de troubles psychologiques divers, troubles et pertes du sommeil, troubles alimentaires (tout cela est étudié, voulu et planifié dans la perspective de destruction du psychisme de la jeunesse, de la population des pays, européens et d’autres, dits riches, obstacle au globalisme). On assiste à une perte des repères, un effondrement psychique : on ferme des classes, les élèves sont renvoyés à la maison, les parents sont obligés de prendre des jours de congés, etc. !
Il ne doit plus y avoir de solitude, de silence, d’intimité, d’isolement, de possibilité de penser, de rêver, de prier, avec le nouveau monde technologique massifié.
C’est aussi le triomphe de l’utopie communiste millénaire, le bolchevisme cybernétique new age teilhardisé dont la théorie queer est le nouveau programme :
le bonheur par la fin de la propriété privée, la fin de la famille, de toute communauté et des traditions, l’indifférenciation et la pulvérisation absolues, la socialisation et l’hyper-centralisation rêvées par les marxistes, la termitière qui faisait tant peur à Dostoïevski. Il ne doit plus y avoir de séparations ni de différences (il n’y a plus de sexes, plus de races – mais curieusement il y a encore des racistes ! – plus de différences entre homme et animal, homme et machine), plus de frontières. Le projet communiste se réalise mais également celui des Lumières (ils ne sont que des variantes l’un de l’autre) : avec la Révolution numérique – passeport numérique, puçage, reconnaissance faciale, géolocalisation, 5G, Linky, »internet des objets », villes connectées (smart cities) – on assiste au triomphe du projet de contrôle absolu des populations déjà grandement sous suggestion, le projet du Panopticon du philosophe utilitariste Jeremy Bentham (le défenseur de l’usure et de la pédérastie), et celui de La Mettrie de l’Homme-machine (l’homme n’est certes pas une machine mais il le devient effectivement chaque jour un peu plus grâce aux NBIC : Nanotechnologies, Biotechnologies, Informatique-Intelligence artificielle, Sciences cognitives et aux »armes de distraction massive »). Les cercles globalistes veulent une reprogrammation de l’homme comme Eugène Zamiatine et Ira Levin en avaient eu l’intuition dans leurs romans respectifs Nous autres (1924)et Un bonheur insoutenable (1970), dans ce dernier l’humanité obéit à un ordinateur central.
L’imaginaire, collectif et individuel, est totalement colonisé par les images, les sons, les bruits, la musique industrielle, les mensonges, la propagande (autre nom de l’information), les falsifications impudentes sans nombre, les grands récits. Les individus connectés sont en hypnose devant leur écran. Les contestataires des années 70, qui protestaient contre les dantesques bombardements sur le Nord Vietnam, criaient dans leur manifestation : « Ouvrez les yeux et fermez la télé », que dire aujourd’hui ??!! Les agences de communication, de marketing et de publicité qui sont des machines à inventer des histoires et à reprogrammer les cerveaux (le fameux storytelling), ont mis au point les campagnes pour vendre la prétendue pandémie, pour « créer le consentement » à son sujet (comme elles l’avaient fait pour vendre et faire accepter les agressions contre l’Irak et la Serbie, en autres, comme elles le font pour faire élire un président). Pour cette raison un Ministère de la Vérité mondialiste (Miniver en novlangue orwellienne) se met en place avec des succursales dans tous les pays.
Les connectés inconscients donnent volontairement dans les réseaux sociaux et avec leurs »smartphones » plus d’informations que la police et les agences gouvernementales diverses ne sauraient collecter (le grand réseau électronique mondial a été inventé par l’armée américaine et il y a peu de technologies neutres), les gens se fichent eux-mêmes et en sont contents voire fiers (quitte à hurler contre la police et le fichage !), comme ils sont fiers de montrer leur passeport sanitaire (« oui je suis un esclave et un soldat obéissant du nouvel ordre mondial »).
Ce fut le masque, puis c’est la vaccination, et enfin ce sera le puçage, tout cela avec l’approbation des populations terrorisées, médiatisées et virtualisées. Les centres de regroupement pour contestataires (pour ne pas dire camp de concentration) sont prêts, il sera d’autant plus facile d’arrêter et de regrouper ces derniers que les gouvernements ont interdit la possession d’armes à feu par la population (elles sont réservées aux voyous, aux gangsters, à la police, à l’armée et à la gendarmerie), qui après avoir été désarmée spirituellement (par l’antiracisme, l’antifascisme, le féminisme et le shoahtisme) est ainsi désarmée matériellement. Or « être armé, c’est être libre » nous ont appris les Armuries d’Isher de A. E. Van Vogt. Les populations (blanches avant tout) doivent être mises à genoux (le mouvement Black Lives Matter l’a exigé).
La marionnette des globalistes écologistes, Greta Thunberg est accueillie comme un chef d’État au Forum économique mondial ; elle veut « sauver la planète », mais fait l’éloge des vaccins qu’elle veut infliger également aux pauvres et aux Africains ! Elle dénonce de façon obsessionnelle le dioxyde de carbone, mais oublie de préciser que les data centers, les téléphones portables et les ordinateurs connectés sont responsables d’autant d’émissions de dioxyde de carbone et de destruction de la nature que le trafic aérien mondial par exemple.
Cet horrible nouveau monde qui se met en place déteste l’âme et l’esprit, mais il n’est pas plus matérialiste pour autant, car il veut également la fin des corps, la fin de la matière naturelle, tout doit être virtualisé (les idéologues déconstructionnistes queer par exemplene veulent plus que l’on parle de seins, de menstrues, de grossesse, d’accouchement, d’allaitement, etc. ; ils ne veulent plus de nature). On se dirige vers un puçage électronique sous-cutané universel et obligatoire, et ce sera un crime que d’essayer d’extraire de son corps sa puce d’identification.
Remarquons que la France semble secréter quelques résistances, même confuses et minimes, au nouvel ordre mondial :
ce fut d’abord les réactions catholiques traditionalistes au concile de Vatican II, le courant dit révisionniste en histoire, puis les manifestations contre le prétendu mariage homosexuel, enfin le mouvement dits des Gilets jaunes, … mais il faut encore un effort pour être vraiment contre-révolutionnaires.
Il nous faut refuser de nous placer sur le terrain de l’ennemi et refuser d’employer ses armes, c’est la b a ba de l’art de la guerre, il faut refuser le »principe démocratique » et la farce électorale (le gouvernement d’occupation peut bien supprimer les élections, en interdisant les bureaux de vote aux non porteurs de passeport vaccinal par exemple, nous n’en avons cure). La démocratie est le pouvoir de la majorité qui nous est largement défavorable et même hostile (en fait la démocratie est aussi, selon les intérêts du globalisme et quand il le faut, le pouvoir des lobbies minoritaires, sexuels notamment).
Le système technologique et la sur-urbanisation sont incompatibles avec la vie libre et naturelle: les luddites anglais en avaient eu l’intuition en cassant les machines à tisser, les extraordinaires anarchistes naturiens antiscientifiques et antiprogressistes l’avaient proclamé à la fin du dix-neuvième siècle (« À bas la Civilisation, Vive la Nature ! » s’exclamaient, certes un peu naïvement, Henri Zisly et Émile Gravelle), Ted Kaczynski le répéta un siècle plus tard dans son manifeste La société industrielle et son avenir. Une régression technologique est nécessaire, une révolte contre les machines, un »djihad butlérien » pour employer les mots de F. Herbert dans son Dune, lui-même se référant au Erewhon de Samuel Butler,
Nos adversaires veulent nous ridiculiser en nous comparant aux Amish de Pennsylvanie ou aux partisans de la Terre plate, ou de la Terre sise fixe au centre de l’univers. Cela ne nous gêne en aucun sens, les Amish, avec lesquels l’on n’est pas obligé de partager les croyances religieuses, refusent la modernité et la technique, ils sont pour cela hautement respectables et nous avons à apprendre d’eux. Quant à ceux qui croient en la Terre plate, nous les préférons à ceux qui croient en la démocratie, aux smartphones ou en la religion covidiste, et nous n’avons aucune preuve que la Terre tourne autour du soleil et non l’inverse ; la thèse héliocentrique est une thèse politico-idéologique (anti-catholique) avant d’être scientifique, de même que la dictature qui se met en place n’est absolument pas sanitaire mais politique et antisanitaire.
Il nous faut choisir entre le Bien et le Mal, le libre-arbitre existe, Zarathoustra l’avait compris, Jésus-Christ également.
Mr. Tambourine Man, le 15 octobre 2021
P.S. La décision de terminer la manifestation du samedi 2 octobre sur la place de la République à Limoges, en dehors même du nom de cette dernière (À bas la République !) fut particulièrement malheureuse, puisque nous sommes tombés dans le piège d’un spectacle organisé par la municipalité et financé notamment par le grand journal régional que nous ne nommerons pas pour ne pas souiller cette feuille. Un orchestre de rock’n’roll nous joua (clin d’œil complice, inconscience, provocation, insolence ou moquerie à l’égard des manifestants ?) l’hymne à la liberté et à la rébellion « Born To Be Wild » (1968) de Steppenwolf, … né pour être sauvage… certes, mais avec son passeport sanitaire… !…