La revue scientifique The Lancet confirme le risque élevé de myocardite du vaccin Pfizer et Moderna

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Les complotistes auraient ils eu raison trop tôt ?

Une étude menée par la très prestigieuse revue scientifique The Lancet a conclu que le vaccin ARN anti-Covid de Pfizer et de Moderna présente un risque élevé de myocardite et de péricardite 

Certains parleront de complotisme. Pourtant, il n’en est rien. Car, l’étude en question est menée par la très prestigieuse revue scientifique The Lancet qui l’a rendue publique il y a 8 jours. Ainsi, dans son étude, la revue confirme que les vaccins anti-Covid comportent des effets secondaires dangereux, dont la myocardite et la péricardite.

Dans l’étude en question, on peut lire : “un risque accru de myocardite et de péricardite a été noté après la vaccination contre la Covid et a été plus fort chez les hommes âgés de 18 à 25 ans après la prise de la seconde dose. Cependant, l’incident était rare”. La revue tente tout de même de minimiser. En effet, d’après The Lancet, sur 15 148 369 de personnes ayant reçu le vaccin, seuls 411 cas de myocardite et de péricardite ont été notés.

La publication de cette récente étude est d’autant plus préoccupante pour les laboratoires que tout récent une étude similaire, menée en France, avait abouti aux mêmes conclusions. En effet, l’étude menée par l’institut EPI-PHARE (épidémiologie des produits de santé) dans sa version originale confirme que les vaccins Pfizer et Moderna présentent des risques de myocardite et de péricardite tout en précisant toutefois que le risque est peu fréquent.

EPI-PHARE dit avoir étudié tous les cas d’hospitalisation entre le 15 mai et le 31 août 2021. La tranche d’âge a été comprise entre 12 à 50 ans. “Chaque cas a été apparié à 10 témoins de même âge, sexe et département de résidence. Les risques de survenue d’une hospitalisation pour myocardite ou péricardite ont été comparés entre les personnes exposées et non exposées aux vaccins Pfizer-BioNTech et Moderna, séparément par sexe et par classe d’âge, par des modèles de régression logistique conditionnelle ajustés sur les antécédents de myocardite ou péricardite dans les 5 ans précédents, l’antécédent d’infection par le SARS-CoV-2 dans le mois précédent et l’indice de défavorisation sociale”, renseigne EPI-PHARE.

Et d’ajouter : “un total de 919 cas de myocardites (âge médian de 26 ans, 21% de femmes) et 917 cas de péricardites (âge médian de 34 ans, 38% de femmes) sont survenus parmi des personnes âgées de 12 à 50 ans en France pendant la période d’étude. Ces cas ont été appariés respectivement à 9190 témoins (pour la myocardite) et 9170 témoins (pour la péricardite).”

L’étude souligne que les jeunes hommes âgés de moins de 30 ans ont été les plus exposés.

“Globalement, la vaccination par les vaccins Pfizer BioNTech et Moderna était associée à une augmentation des risques d’hospitalisation pour myocardite et péricardite dans les 7 jours suivant la vaccination. L’association avec le risque de myocardite apparaît particulièrement marquée chez les jeunes hommes de moins de 30 ans, en particulier au décours de la deuxième dose du vaccin Moderna (Odds-Ratio ajusté (OR) 79,8 ; intervalle de confiance à 95% [29,8-213,4]), conduisant à un excès de cas atteignant de l’ordre de 132 par un million de doses dans cette tranche de la population”, révèle EPI-PHARE.

Concluant leur travail, les chercheurs passent aux aveux: “en conclusion, cette étude confirme l’existence d’un risque de myocardite et péricardite dans les 7 jours suivant une vaccination contre la Covid-19 avec un vaccin ARNm (Pfizer BioNTech et Moderna) chez les personnes âgées de 12 à 50 ans, particulièrement les jeunes de moins de 30 ans. Ce risque est plus élevé avec le vaccin Moderna. Cependant, le nombre de cas attribuables aux vaccins apparaît peu fréquent au regard du nombre de doses administrées. Cette étude confirme également l’évolution clinique favorable des cas de myocardite et de péricardite suite à la vaccination”.

Il n’en demeure pas moins que la balance bénéfice risque sur cette population ayant très peu de risques avec cette maladie est défavorable et même si la guérison survient dans la plupart des cas, il y a eu des cas mortels et il est probable que des séquelles cardiaques impacteront la santé de ces personnes et leur espérance de vie. Cet aspect est d’autant moins justifiable que ces vaccins n’empêchent pas la contamination et la transmission de la maladie et ne peuvent pas prétendre à l’apparition d’une immunité collective.

Enfin, d’autres études démontrent les effets graves sur les femmes, avec des perturbations de leur cycle menstruel quelquefois définitives.

Peu à peu, la vérité qui monte l’escalier, va prendre le dessus sur le mensonge qui a pris l’ascenseur et ce ne sera que justice!

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